Agriavis recueille l'avis des agriculteurs sur les matériels, semences et plants, engrais, produits phytosanitaires, services et produits pour les animaux qu'ils utilisent sur leur exploitation
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Face à la Commission Européenne qui souhaite que les aides de la PAC de l’après 2013 soit régionalisée (en fonction des régions françaises), Xavier Beulin, Président de la FNSEA, tient à réagir. Pour lui, le débat sur la PAC et la régionalisation des aides est « important et légitime ». Il faut en effet tenir compte des spécificités des régions, reconnaître par exemple que les régions de montagne doivent être plus aidées. Mais attention à garder la cohérence de la PAC et ne pas avoir 22 petites PAC correspondant aux 22 régions françaises.
On ne peut que se réjouir de la position de la FNSEA. Quel merdier ca risquerait d'être si on confie le budget de la PAC à nos régions...!!!!!
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J'ai un collègue qui est à la limite de 3 régions naturelles et exploite sur 3 communes : la parcelle l'a plus éloignée de ses batiments n'est qu'à 3 km
Cote d'or = Bourgogne
Haute Saône = Franche comté
Haute Marne = Champagne Ardennes
Ce fut 3 législations différentes quand son père à cessé: il est abérant de penser que les aides puissent être différentes
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c'est déjà un peu le cas avec les MAE qui sont en parti locale
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ça + les 50 premiers ha sur 'primé puis au dela diminue progressivement, ça va être la crise
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dgé a écrit:
ça + les 50 premiers ha sur 'primé puis au dela diminue progressivement, ça va être la crise
ça, je ne suis pas forcement contre, tout comme il faudrait surveiller d'un peu plus prés les entêtes multiples
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david24 a écrit:
dgé a écrit:
ça + les 50 premiers ha sur 'primé puis au dela diminue progressivement, ça va être la crise
ça, je ne suis pas forcement contre, tout comme il faudrait surveiller d'un peu plus prés les entêtes multiples
enfin bon, rabot de 20% en 2010, 10% cette année, quoi avec ça encore, y'en a marre de rabotter toujours, pas possible de se projeter dans l'avenir, y'a la safer pour faire ce à quoi tu penses david, y'a qu'à la recadrer et virer les syndicats
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la safer est corrompue jusqu'à la moelle, mais une baisse progressive des dpu, je suis pour, tout comme c'est le cas pour la PMTVA
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L'administration devrait être capable CHAQUE année de moduler le montant des aides et la répartition au vu des résultats par production
On sait globalement le niveau de chaque production au 15 octobre : l'ordinateur est capable de sortir le calcul et le paiement en moins de 15 jours
Mais faites confiance : en moins de 2 ans c'est inconcevable
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tu manque pas de culot david, de dire ça, toi qui ne dépend pas totalement de ton exploitation
l'idée à nivelle est bien plus acceptable, mais pas faisable, car ce que l’état donne n+1 ne peut pas être plus élevé que N-1, çe serait de mauvais ton, y'aurait plus de sous dans la caisse
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personne n'est obligé de dépendre de son exploitation.....
des primes, j'en ai quasiment pas, je me suis organisé pour faire sans, ensuite, la prime devrait tenir son rôle de "compensatrice" comme l'indique nivelle, mais sur le fond par rapport a l'économie d'échelle réalisable, tu y arrive mieux avec 100 ha qu'avec 50 non ?
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t'as pas de culture de vente, tu compte pas tes DPU, de toutes façon t'as tout faux, car si tu en as, tu crache dans la soupe, et si tu n'en a pas, tu n'est pas bien placé pour en parler
Dernière modification par dgé (19/10/2012 20:32:30)
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nivelle a écrit:
L'administration devrait être capable CHAQUE année de moduler le montant des aides et la répartition au vu des résultats par production
On sait globalement le niveau de chaque production au 15 octobre : l'ordinateur est capable de sortir le calcul et le paiement en moins de 15 jours
Mais faites confiance : en moins de 2 ans c'est inconcevable
Bonjour Me Capello;
Je n'ai connu la période d'avant la PAC 92 que pendant deux ans. Mais je suis sur que tu vas me corriger si je me trompe. Avant 92, la politique agricole en cours permettait, à coup de taxe à l'import et de restitution à l'export, de garder un prix des denrées déconnecté du marché mondial. C'est ce qui avait conduit à une bonne grosse surproduction structurelle... Et c'est bien pour contrer se système que la PAC 92 avait été mise en place: céréales au cours mondial, et subvention compensatrice.
Ce que tu nous propose ne manque pas de logique, mais est-ce que cela ne revient pas à encourager un système qui ressemblerais à la PAC d'avant 92? En gros, il faudrait que les politiques se marchent dessus, tu me diras c'est un exercice qu'il arrivent à effectuer avec souplesse, surtout par les temps qui courent
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j'ai des dpu, mais qui ne dépassent guère 100 euros de l'ha, je fais avec, je ne me plains pas
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les politiques qui réfléchissent aux donnés du prob , sont en retard d'un train chaque fois qu'une réforme est pondu ....
Ils oublient souvent que le monde change vite , ainci
que les tenants et les aboutissants
Une vrai vision pour une politique agraire ambitieuse , serait préférable à ces réformettes tous les 5 ans (2.ans )
ils veulent baisser aides pour les grandes cultures alors que ce serait le moment de pousser à la production , afin d'alléger la facture pour les éleveurs ...( ils devraient réfléchir sur une vrai politique de stockage stratégique pour nos éleveurs lorsque 'il y a surproduction , ainci garantir une certaine stabilité des prix aux conso )
vous allez me dire que cela ressemble à avant 92 ! Oui, cela ressemble ....
Mais entre 1992 et 2013 , il y a vingt ans qui sont passés .......les 5 dernières années , nous ont démontrés qu'en viande et en céréales nous étions "les productions mondiales " , un peu short face à la demande .....
Sachant que 1 milliard d'individus ne mangent pas à leurs fains ....( ce sont les oubliées de l'équation ) .
Dernière modification par clo (19/10/2012 22:04:44)
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david24 a écrit:
personne n'est obligé de dépendre de son exploitation.....
justement si, c'est la base du métier d'agriculteur!
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Paysan 03:tu ne te trompes pas
Mon idée de "partage "permettrait de défendre globalement la somme totale entre les différentes cultures : il est évident que les céréaliers n'ont pas le même besoin de compensation avec un blé à 260 € / T ( matif nov 2012)Qu'avec le même à moitié prix il n'y a pas si loin --------ce qui est aussi valable pour les autres productions
Il serait beaucoup plus facile pour tous ( syndicats compris ) de défendre une somme globale
L'administration n'est pas capable de ventiler cette somme selon des critères ( production x par prix de vente ) fluctuant chaque année
Elle n'en est pas capable mais cela l'arrange bien = la division des producteurs lui permet de diminuer régulièrement la somme globale et de l'amputer par des frais de gestion ( création d'emplois d'agents de l'état )
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la surproduction d'avant 92, si on avait eux des commerciaux, au lieu des politiques pour les vendres, on ne les aurait pas stockés.
et en quoi aujourd'hui serait moins productif qu'avant 92, je vois que les rendements et les surface n'ont cessés d'augmenter, et il semble qu'on ne suit pas la démographie mondiale, alors que fait on, on pénalise 1 milliards de bouche à nourrir, ou on essaye d'en nourrir 1 de plus
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Clo :
le milliard d'individus ne mangeant pas à leur faim est un tout autre problème -----et c'est avant tout celui de leurs dirigeants
D'autre part : il existe des mécanismes pour se garantir un prix d'achat à long terme ( un prix de vente également ) = en ce moment des producteurs de blé livrent à 150 /160 € / T pour respecter des contrats qu'ils ont signés et pas question de refourguer de la mauvaise qualité , les normes sont les mêmes
Les temps ont changés : il y a 50 ans il fallait produire plus----le marché était demandeur = le plan Manscholt en a fixé les objectifs -----------qui ont été atteints -----puis dépassés d'ou la PAC et ses contraintes
Aujourd'hui , il faut se plier à un modèle bien différent si vous produisez un produit standard " mondial " = comme un produit industriel : normes , quantités , approvisionnement à la demande ---------->du flux tendu en quelque sorte
- Bien sûr il existe une production locale bio ou pas ( produire , transformer et vendre ) = le salon LURRAMA à Biarritz en ce moment en est un exemple
- Il y a aussi des zones qui méritent une aide spécifique : la vente des produits ne suffisant pas à une rémunération honnête = montagne , marais " brebis ou canadairs " -------
Cette évolution va à l'encontre de votre affirmation : IN NE FAUT PAS DEPENDRE DE SON EXPLOITATION c'est à vous de là faire évoluer à moyen terme selon vos "capacités "
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jusqu'à preuve du contraire,la personne qui n'a pas de revenu extérieur dépend directement financièrement de son exploitation
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doudou50 a écrit:
verdicte???? c'est mon exploitation qui me dis ce que je peux y faire et mon seul choix est de la suivre avec pour seule variable d'ajustement dans mon pouvoir, le % de ma sole avec les productions que mon exploitation m'autorise a faire !!!!!!!!
+1, on ne va pas faire faire de tournesol en somme, ni de betterave en Corrèze tout comme certains peuvent faire pois, feverolle, op, mais ça ne concerne pas la moitié de la france.
il faut croire que ce que on fait nos parent et grand parent n’était que des conneries
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Au fil des décennies nos exploitations on bien changé-------ou alors comment expliquer la division par 10 du nombre d'agriculteurs à temps plein en 150 ans
Dans mon ex commune par exemple la ferme type c'était :
En 1900 150 exploitants ) 10 ha dont 4 en vignes -----2 vaches et un cheval ( pour 2 fermes souvent )
En 1950 :(30 expoitants ) 40 ha ----10 à 20 pie rouge de l'est et 3 ou 4 chevaux de trait
En 2000 10 exploitants) 120 ha -----colza --blé --orge
A ce jour --------6 exploitants
----------
C'est le transport , aidé par le phylloxéra , qui a éradiqué la vigne autour de 1900
C'est l'attrait de ville accompagné du salaire mensuel de l'industrie qui a supprimé notre style de production dans les années 50
C'est la taille du matériel qui est en cours de modifier la taille des exploitations actuelles
Et vous prétendez encore que c'est votre exploitation qui commande ! ! ! ! ! !
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c'est pas l'exploitation qui commande, mais on en dépend quand même, de part sa région géographique, son climat,; ses terrains, je pense qu'on faisait plus de culture en 1970 qu'aujourd'hui, tout simplement parce qu'on ne cherchait pas au plus productif ou rentable, parce que ça allait comme ça, beaucoup moins de pression fiscale, et pas de contrainte aux cultures.
qui c'est qui a dit: il faut vivre avec son temps, mais lequel choisir, celui que je suis depuis 20 ans, ou celui de nos ecolos bobo de paris
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si on dépend entièrement de son exploitation, c'est soit parce qu'elle permet d'y gagner sa vie, ce qui est normal, soit un entêtement
beaucoup son pluriactifs et ce n'est pas une honte
chez nous comme un peu ailleurs, il s'est fait des chambres d'hôtes, des fermes auberge etc, c'est une diversification, qui revient au même puisque qu'on exerce plusieurs métiers différents
il faut aussi savoir contenir ses charges, si je voulais semer avec le dernier cri de combiné avec un beau tracteur tout neuf de 50 cv de plus que mes besoins et récolter avec une machine neuve, là, c'est sur que je ne gagnerais plus rien
jusqu’à preuve du contraire, il n'y a pas 20 qtx d'écart entre du blé semé avec un combiné a 10 000 qu'avec celui a 30 000, les contraintes climatiques et de terroir jouent beaucoup plus
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tout a fait ,
mon combiné ma couter 2500e ,et j ai fait 75qx sur certaines parcelles !
j ai honte ,hein! mais ça va passer !
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