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Bonjour à toutes tous
J’ai mis un titre un peut particulier à ce post pour ne pas polluer les autres discutions au sujet du blé
Dans l’ouvrage, dont il est question dans ma présentation, je ne parle uniquement de blé tendre (Tritucum aestivum) et de blé dur (Triticum monococcum/turgidum), sans parler des variétés.
A la lecture des différents posts concernant les blés tendres j’ai remarqué qu’il y avait beaucoup de variétés. Est-ce que certaines sont les mêmes sous un nom différent, suivant les semenciers ?.
Je recherche aussi des informations sur les blés panifiables sachant que l’on recherche aujourd’hui des variétés à fort taux de protéines, de grande force boulangère et bon test de panification c’est vrai que ça fait beaucoup de chose (-et pas cher-).
Dans les blés que vous cultivez, qu’elles sont ceux destinés à la panification?.
Est-il vrai que le rendement d’un blé panifiable est inversement proportionnel à sa valeur boulangère?.
Merci pour vos réponses.
Bonne fin de journée et week end à toutes et tous
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Chaque variété de blé a son nom et ne le partage pas.
Beaucoup de blés sont panifiables. Comme il y a très peu de différences de rendement entre un BPS et un BAU, beaucoup d'agriculteurs cultivent des blés panifiables alors qu'ils ne valorisent pas forcément cette ""panificabilité"".
D'ailleurs en terme de prix de vente, il y a aussi peu d'écart entre ces blés.
Par contre, il faut reconnaître que les blés les plus productifs sont souvent les BAU mais il n'y a pas de relation directe entre qualités boulangères et rdt.
Si tu as d'autres questions ou si je ne suis pas clair, n'hésite pas.
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Bonjour Bart 37
Merci pour ta réponse et de l'intérêt que tu as porté à ce post
Je me doute que dans les catalogues il y a beaucoup de théorie et que l'on affiche des résultats de "labo"
C'est sur que le mode cultural et la météo sont les principaux facteurs de qualité et de rendement.
Je ne vais donc pas m'étendre de trop sur cette piste
Encore merci et bonne fin de journée
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Bonjour à toutes, tous.
Avant l’invention, mais surtout l’usage généralisé du semoir, la qualité exigée du bon semeur était de bien répartir la semence,
mais aussi d’estimer la quantité nécessaire en fonction du terrain, des son exposition et du climat.
Aujourd’hui, si la mécanisation a permis de s’affranchir de la régularité du semis, il n’en reste pas moins que le céréalier
doit estimer la quantité de graine qu’il va répartir au m².
Si, dans son principe, les paramètres de calcul restent les mêmes existe-il un logiciel permettant d’effectuer ce calcul ?.
J’ai remarqué que la densité du semis pouvait fluctuer du simple au double….sur quels paramètres intervenez vous :
- distance entre les graines
- distance entre les rangs. Les deux mon capitaine ?
Tout ceci pour le blé.
Merci de m’avoir lu.
Bonne fin de journée à toutes, tous.
Dernière modification par roger 2 (18/08/2010 14:15:44)
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Bonjour Roger,
Il n'y a pas de règle stricte sur la densité idéale d'un semis de blé.
On sait par contre qu'il faut entre 500 et 800 épis/m² pour exprimer tout le potentiel d'une parcelle.
A chacun de connaître son terroir et les variétés qu'il sème pour arriver à ce chiffre.
Pour te donner un exemple, chez moi les anciens semaient à 250 kg/ha soit environ 500 gr/m².
Aujourd'hui, la plupart des agris sèment à 250 grains/m².
Certains urluberlus comme moi descendent même à 150 gr/m² sans souci de perte de rendement : en fait chaque pied de blé fabrique plus d'épis.
Avec un hybride, j'ai semé cette année à 77 grains/m² dans une parcelle d'essai : c'est pourtant cet hybride qui a donné le meilleur rendement de la parcelle grâce à plus de 540 épis/m² 
Dernière modification par Bart37 (18/08/2010 21:10:16)
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Bonsoir et merci Bart
En effet c'est comme au jardin on sème souvent trop dru
Ton essai a fait un formidable tallage (6/7)
Jai déjà vu des pieds avec beaucoup d'épis mais je pensais que plusieurs graines s'étaient emmêlées
Encore merci pour ta réponse et bonne soirée
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