Agriavis recueille l'avis des agriculteurs sur les matériels, semences et plants, engrais, produits phytosanitaires, services et produits pour les animaux qu'ils utilisent sur leur exploitation
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Heuu je n'ai jamais écrit que les gens se préoccupent des conditions dans lesqulles les produits chinois sont produits. LOL
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Step72 ne veut plus des aides et vivre du fruit de son travail !!
Dont acte !
Rien ne l'interdit
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Ca je l'ai entendu d'une persoone qui vit grace à nous,un comptable cer.
On ne demande pas un salaire mais un prix qui permette de vivre.
Ajourd'ui on a l'assurance d'avoir une production achetée ( on a produit mais on sait pas quel prix on va etre payé,à part ça c'est normal) S'il faut "donner" notre production pour qu'elle soit ramasser,moi j'appelle ça de l'expoitation. La contrepartie ,il y en pas,c'est travaille et débrouille toi.
Ca c'est des arguments des industriels qui nous volent,en serait tu un par hasard toi qui te cache dérrière ton pseudo. Tu fais quel métier au juste?
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Le Maire : les producteurs de lait doivent être "correctement rémunérés"
Les producteurs doivent se réunir ce mercredi pour décider des prochaines actions pour protester contre l'échec des négociations au sein de l'interprofession sur les prix du lait.
Le ministre de l'Agriculture, Bruno Le Maire, comprend "parfaitement" la colère des producteurs de lait et a souhaité que ceux-ci "soient correctement rémunérés", a-t-il déclaré mercredi 4 août sur RTL.
Le ministre a fait cette déclaration alors que les producteurs ont relancé depuis quelques jours des opérations pour protester contre l'échec des négociations au sein de l'interprofession sur les prix du lait. Une réunion des syndicats majoritaires du secteur doit se tenir ce mercredi pour décider de la stratégie à adopter face aux entreprises qui refusent d'augmenter les tarifs autant que les éleveurs le souhaitent.
"Lorsque les prix s'effondrent, la répercussion est immédiate sur les revenus des producteurs qui ont perdu près de 50% de leurs revenus en 2009 (...) Maintenant que les prix remontent, je souhaite que les producteurs soient correctement rémunérés", a déclaré Bruno Le Maire.
"Que chacun prenne bien ses responsabilités"
Interrogé sur ce qui pourrait être le "prix juste", Bruno Le Maire a affirmé que c'était à l'interprofession -producteurs, industriels et coopératives- "de le déterminer".
"Que chacun prenne bien ses responsabilités, que chacun joue son rôle, l'Etat a joué son rôle pour intervenir sur les marchés en 2009 en mettant 300 millions d'euros par l'intermédiaire de la commission européenne et faire remonter les cours du lait", a encore souligné Bruno Le Maire.
"Que l'on sorte de ce système où tous les trois mois il y a une crise sur le prix du lait, ce n'est pas acceptable", a souhaité le ministre. Il rappelle que la nouvelle loi de modernisation de l'Agriculture et de la Pêche, votée en juillet, obligera les industriels à fournir des contrats sur plusieurs années aux producteurs pour que ceux-ci sachent ce qu'ils vont gagner "au lieu d'être soumis à des aléas tous les trois mois".
La récente flambée des prix des céréales (qui servent aussi à nourrir le bétail) va entraîner une "situation difficile" pour les éleveurs, a aussi reconnu Bruno Le Maire qui a annoncé qu'il proposera à la rentrée un plan de développement pour la filière de l'élevage (bovins et du porc).
Réunion des producteurs de lait
Il faut sortir "de l'impasse" concernant le prix du lait en France, a pour sa part estimé Jean-Michel Lemétayer, président de la Fédération nationale des Syndicats d'Exploitants agricoles, principal syndicat agricole, déplorant que les négociations au sein de l'interprofession soient au point mort.
Les industriels "ont encore quelques jours pour entendre raison, se remettre autour de la table et faire en sorte que finalement, on sorte de cette impasse (...) pour au moins tout le dernier semestre de l'année 2010", a estimé Jean-Michel Lemétayer sur France Info.
Les principaux syndicats agricoles doivent se réunir ce mercredi afin de décider des prochaines actions pour protester contre l'échec de l'interprofession à s'entendre sur le prix du lait alors que quelques manifestations de producteurs ont encore eu lieu depuis lundi.
Environ 150 producteurs de lait ont manifesté dans la nuit de mardi à mercredi à Changé, dans la périphérie de Laval, pour exiger un relèvement des prix.
Lundi, les actions ont surtout touché la région Midi-Pyrénées où quelques dizaines d'éleveurs se sont mobilisés devant les préfectures départementales pour demander à l'Etat d'appliquer les "accords de juin 2009 sur le mode de fixation du prix" du lait. Et dénoncer le refus des industriels d'augmenter le prix du lait au 3e trimestre autant que les producteurs le souhaitent.
"Suivant cet accord, aujourd'hui le prix devrait être de 323 euros la tonne, or ce n'est pas le cas, car ce sont unilatéralement les acheteurs qui fixent le prix d'achat aux producteurs", a déploré Olivier Beaufils, producteur de lait à Montréjeau (Haute-Garonne), membre des Jeunes agriculteurs (JA) et de la délégation reçue par le préfet à Toulouse.
"En ce moment nous sommes dans une phase de reprise, tous les indicateurs sont positifs, sauf que cela ne se répercute pas sur le prix d'achat aux producteurs", a-t-il indiqué.
"On nous paie le lait au-dessous de 30 centimes le litre, or pour être rémunérateur le lait devrait être payé au producteur entre 35 et 40 centimes le litre", a regretté Jean-Michel Bersia, producteur de lait à Paulhac (Haute-Garonne).
A Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire), une quinzaine de producteurs ont apposé lundi des autocollants avec la mention "cette marque paie mal les producteurs de lait !" sur les produits laitiers des entreprises Lactalis, Bongrain et Bel.
Des opérations similaires étaient prévues mardi dans un hypermarché du département voisin de la Côte-d'Or ainsi que dans un Leclerc à Nantes.
La réunion de mercredi à laquelle sont attendus les principaux responsables de la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA), des Jeunes Agriculteurs et de la Fédération nationale des producteurs de lait pourrait être le coup d'envoi d'une nouvelle vague de protestations.
Définir une stratégie
D'autant que la fédération nationale des industries laitières (FNIL), qui regroupe les industriels (Bongrain, Lactalis, Bel,...), interrogée par l'AFP, a fait savoir que ses principaux responsables venaient de partir "en vacances pour trois semaines".
De son côté, l'association des producteurs de lait indépendants (Apli) s'est réunie lundi pour définir une stratégie face au problème du lait.
"On va laisser faire les syndicats dits 'représentatifs' (FNSEA, JA, FNPL, Ndlr), voir s'ils sont capables d'engager une grève du lait et là, nous, on suivra", a déclaré à l'AFP Pascal Massol, président de l'Apli.
"A eux de montrer qu'ils veulent vraiment obtenir des résultats", a-t-il ajouté et selon lui des actions comme "verser du fumier devant les préfectures, ne changent rien".
L'Apli avait été à l'origine de la grève du lait à l'automne 2009, un mouvement qui avait consisté à jeter des tonnes de ce produit pour dénoncer la chute des prix, et auquel n'a jamais voulu adhérer la FNSEA. Ce qui n'a pas empêché l'Apli de tailler des croupières au syndicat majoritaire qu'elle juge insuffisamment revendicatif.
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Voler , se serait ne pas vous payer conformément au contrat signe .
est ce le cas ?
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Le ministre emploie un mot ENORME.
Le mot : rémunération .
C'est un salarie qui a une rémunération . Un SALARIE , pas un chef d' entreprise qu 'est un producteur de lait .
Tous vos problèmes sont résumes dans ce seul mot.
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A Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire), une quinzaine de producteurs ont apposé lundi des autocollants avec la mention "cette marque paie mal les producteurs de lait !" sur les produits laitiers des entreprises Lactalis, Bongrain et Bel.
Etes vous les salaries des industriels?
A vous lire on pourrait le croire.
Il y a le travail , le salaire, le lien de subordination .
En droit du travail , cela s 'apelle un contrat de travail .
Et je connais bien la loi et prêt et être démenti .
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Torquemada a écrit:
A Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire), une quinzaine de producteurs ont apposé lundi des autocollants avec la mention "cette marque paie mal les producteurs de lait !" sur les produits laitiers des entreprises Lactalis, Bongrain et Bel.
Etes vous les salaries des industriels?
A vous lire on pourrait le croire.
Il y a le travail , le salaire, le lien de subordination .
En droit du travail , cela s 'apelle un contrat de travail .
Et je connais bien la loi et prêt et être démenti .
Tu veux lire quoi Toquéfada ???
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"Que l'on sorte de ce système où tous les trois mois il y a une crise sur le prix du lait, ce n'est pas acceptable", a souhaité le ministre.
"Les industriels "ont encore quelques jours pour entendre raison, se remettre autour de la table et faire en sorte que finalement, on sorte de cette impasse (...) pour au moins tout le dernier semestre de l'année 2010", a estimé Jean-Michel Lemétayer sur France Info."
Y'a comme un problème ???
3 ans pour le ministre, 6 mois pour JMLM : ce dernier veut passer son Space tranquille et prendre sa retraite annoncée fin 2010 avec les honneurs !!
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Torquemada = Ulysse ???
On ne peut comparer un artisan à un agriculteur ...!
Les agriculteurs sont encadrés par la PAC avec , des quotas , des limites de chargement / ha , l'interdiction de retourner les prairies etc .... autant de facteurs évolutifs qui suppriment toute adaptation ou possibilité d'évolution . la PAC 92 devait faire disparaître les stockes par l'apparition de quotas , jachères ...etc et finalement l'espoir de voir nos produits avoir une certaine valeur .... c'est ce qu'on nous a fait croire !
Le fabriquant de chaises peut en produire autant qu'il veut , ou il veut ,de la qualité qu'il veut et changer de production quand il veut en fonction d'une nouvelle demande ... Maintenant si tu dis à ce fabriquant de chaise , tu ne peux en produire que 1000 et tu ne peux pas produire autre chose ....!!! ce ne sera plus la même chanson ...
pour l'histoire du contribuable , ils n'en ont rien à foutre du moment que les rayons des supermarchés sont plein et qu'ils peuvent se ruer sur les soldes
Produire sans prime ? je suis pour à partir du moment ou on retire les primes à tout le monde . Je suis certain que nos fournisseurs trouveront le moyens de s'adapter à notre pouvoir d'achat (tracteurs kubota sont apparus comme est arrivé la logane) ....En 2007 , quand le blé a augmenté , les engrais ont pris le même chemin ainsi que d'autres fournitures , par la suite le blé a baissé , les engrais ont pris le même chemin .... sinon plus aucune vente d'engrais ...! Et sans primes , fini les contrôles avec tout son lot de conseillers et contrôleurs qui seront dirigés vers l'encadrement des jeunes en difficultés ou délinquants (bien plus utiles) ...
Dernière modification par jean-fran (04/08/2010 22:11:13)
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Et mr le toqué,les producteurs sont payés par les transformateurs,ça te choque .
C'est vrai on est MAL payé. Le lien de subordination on l'a ,les industriels se comportent comme des grands chefs,en nous imposant leur prix . Le temps des seigneurs n'est pas révolu.
On ne négocie pas avec des voleurs,c'est ce prix la ou rien.
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l'agriculture est le seul je dit bien le SEUL metier ou se sont les acheteurs qui font le prix d'achat
quand mes clients commencent a negocier le prix je leur dit
a la caisse du supermarché du negocie le prix de ton chariot
non
et bien a la ferme c'erst pareil
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Vous savez les gars, je pense qu'il ne faut pas user nos claviers à répondre à un gars (Toquéfada) qui :
- est de très mauvaise foi
- fait partie de ceux qui vivent grassement sur notre dos (sans doute salarié de parasites agricoles)
- a intérêt à ce que nous soyons dociles, soumis, corvéables et exploitables dans son intérêt personnel (il n'en a rien à faire du consommateur, c'est juste un prétexte...)
- n'accepte pas que les culs terreux se rebiffent (non mais, c'est quoi ce bordel ??)
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Lait : l'ultimatum des producteurs aux industriels
La situation pourrait s'envenimer. Les producteurs de lait ont accentué mercredi la pression sur les industriels du secteur pour obtenir une hausse des tarifs du lait après l'échec des négociations. Les trois syndicats majoritaires des agriculteurs, réunis mercredi, ont ainsi lancé un ultimatum, en donnant jusqu'au 12 août aux industriels et aux coopératives pour reprendre les négociations.
"Il n'est pas trop tard" pour relancer les discussions, a déclaré Dominique Barrau, secrétaire général de la FNSEA, principal syndicat agricole français, à l'issue de cette réunion. En attendant, ils appellent à "généraliser la campagne de stickage", consistant à apposer des autocollants sur des laitages, produits par des industriels qui n'appliquent pas l'augmentation des prix du lait, pour inciter les consommateurs à les boycotter. Lancée depuis plusieurs jours dans quelques départements, cette campagne de boycott a été menée mercredi dans les grandes surfaces de Rodez par les producteurs de lait de l'Aveyron.
Opération "illégale"
Plus tôt mercredi, le ministre de l'Agriculture avait montré sa solidarité avec les producteurs. "Je souhaite que les industriels et les coopératives fassent les efforts nécessaires pour que les producteurs soient rémunérés à leur juste valeur", avait-t-il insisté. "Lorsque les prix s'effondrent, la répercussion est immédiate sur les revenus des producteurs qui ont perdu près de 50% de leurs revenus en 2009 (...). Maintenant que les prix remontent, je souhaite que les producteurs soient correctement rémunérés", avait-t-il dit.
Après le 12 août, date butoir donnée par les organisations de producteur, des représentants syndicaux se rendront aux sièges sociaux pour "demander des comptes aux industriels qui ne jouent pas le jeu", a prévenu M. Barrau. Il n'a pas précisé quel type d'action serait alors envisagé: "nous aviserons à ce moment-là", a-t-il dit. Dans le collimateur des producteurs: Bel, fabricant de La vache qui rit, Bongrain (Caprice des Dieux) et Lactalis (Camembert Président) notamment.
Mias les industriels ne semblent pas impressionnés outre-mesure par les menaces syndicales. "Ces gens se servent des marques pour faire pression sur nous, ce qui est doublement stupide, d'abord parce que c'est illégal et parce que les marques, c'est ce qui valorise le mieux le lait", a réagi Lactalis, premier groupe laitier européen. La fédération des industries laitières (FNIL) a quant à elle "appelé l'ensemble des acteurs à trouver les voies nouvelles permettant de rétablir un dialogue constructif dans l'intérêt de tous".
Importations allemandes
Concrètement, ces groupes industriels et autres transformateurs refusent d'octroyer une hausse moyenne de 3,1 centimes par litre de lait comme le souhaitent les syndicats majoritaires qui demandent l'application de l'accord signé le 3 juin 2009. Cette hausse aboutirait à un prix moyen de 33,1 centimes le litre de lait facturé au producteur. Mais les entreprises ont décidé de prix bien inférieurs, certaines d'entre elles offrant une augmentation d'environ 1,3 centime par litre seulement. Elles arguent de la nécessité d'un rapprochement entre les prix français et allemands, ces derniers étant inférieurs. Ce différentiel, selon elles, a entraîné en 2009 une augmentation des importations allemandes, fragilisant la filière en France.
Les producteurs font valoir, eux, que les prix sur les marchés ont augmenté. Bruno Le Maire a abondé dans leur sens, rappelant que l'Etat avait dépensé 300 millions d'euros, via la Commission européenne, pour faire remonter les prix. "Que l'on sorte de ce système où tous les trois mois il y a une crise sur le prix du lait! Ce n'est pas acceptable", a lancé le ministre, alors que les producteurs ne savent toujours pas aujourd'hui combien ils seront payés pour le lait livré en juillet. Ils doivent recevoir entre le 6 et le 20 août leur paye pour les livraisons du mois précédent.
Dernière modification par invitee (05/08/2010 12:21:55)
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En tout cas la mafia Lactalis ainsi que les 2 BB ( Bongrain,bel) nous on bien racketté.
Depuis juin le prix du lait Allemand est supérieur à 10e avec - de 400 000 cellules et l'écart va augmenter. Quelle bande de voleurs,la fnpl est encore pret à négocier avec eux!!
Ce matin mr FIALIP ( fnpl) producteur dans l'aveyron a dit sur la radio rmc que depuis 2010 il gagnait de 40 à 60 E par à rapport à 2009. Il raconte n'importe quoi le prix du premier semeste 2010 est le meme que celui de 2010. Encore un qui vit grace à nos cotisation.
Bravo la fédé,depuis 1 AN vous défendez bien vos collègues.
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rectificaton; le prix du lait du 1ER semestre 2010 est le meme que le 1ER semestre 2009
Pourquoi les petits industriels ( il en reste) respectent l'accord et pas le trio des gros "poissons"? La devise pour eux,le beurre et l'argent du beurre et la naiveté du producteur.
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Mais enfin, Steph72, ce qui importe à JMLM c'est juste que le lait remonte un tout petit peu avant le Space (voilà pourquoi ce semblant de bras de fer). Tout est pipé d'avance, et si PETITE hausse il y a, elle sera bien éphémère !!
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Pas la peine de faire de la bile ou même de s'amuser à coller des étiquettes avec les moutons sans cerveaux, une grande victoire syndicale se dessine, j'en fait facilement le pari, inutile de jouer les rabajois , les accorts seront en gros respecter par tout le monde ( il n'y a plus vraiment le choix au vus de la conjoncture ), par contre il y aura une contre partie trés sympatique : se sera prix et volume différenciés pour tout le monde !
Habilement mené tout ça, ou comment faire passer des accorts critiqués, par bons et un projet dont aucuns producteurs ne désire.
Dernière modification par titian (05/08/2010 18:32:10)
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Oui,moi ausi je m'en doute qu'on va se faire avoir comme en juin 2009;
S'il y a des contreparties avec cet accord,notemment avec des contrats volume prix différencié ,la fnpl va se risquer à signer ces contrats à notre place. Si ces le cas ,ce sont des ordures à mettre dans le meme sac que les industriels.
Que peut on faire ?
Plus d'adhésions à l'office aurait pu faire échouer leur projet.
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bonjour steph tu peut me rapeller le remede miracle de l office du lait,si c est pour des cotisations en plus ,ca va aller comme ca .je les ai deja prevenu qu on donnerai rien de plus pour faire des groupement pour leur fumeuse contractualisation!
fnpL cnieL crieL gvL c est bien nous les vaches a L.
Dernière modification par didier.tcs (06/08/2010 18:28:05)
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Torquemada a écrit:
Step72 ne veut plus des aides et vivre du fruit de son travail !!
Dont acte !
Rien ne l'interdit
lIl n'y a pas Step72 il y a une grosse majorité qui veullent vivre de leur travail donc part mesure d'egalité si eux ne veulle pas d'aides les autres ne doivent pas en avoir non plus
Si a court terme le paysage agricole y compris le para agricole serai boulversé a long terme une ecconomie plus saine plus juste pourait apparaitre
Ce systheme d'aide a montré ces limites et sont lot de profiteurs doublé d'une incompréhension envers les consomateurs contribuables
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2 solutions .
Accepter les primes , les prix bas , la certitude d'une production vendue etc ....
Ou redevenir un chef d'entreprise libre qui décide , négocie ,assume ses décisions .
On a toujours le choix.
Mais la situation qui serait d'avoir les avantages des deux systèmes n'est pas possible dans le système actuel
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didier tcs,si tu finance l'office du lait ,tu ne finançera plus le cniel ( avec les producteurs de la fnpl,il y aussi les voleurs),tu préfères cautionner le système actuel qui va vers l'intégration du producteurs par les laiteries plutot changer pour etre acteur de ta production et de la commercialisation du produit. C'est bien ça l'objectif reprendre du pouvoir dans la filière afin d'avoir un prix équitable.
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Arrêtons de nous invectiver. Ca ne sert à rien. Les industriels qui lisent les posts des forums doivent bien rigoler.
Le problème de l'agriculture est résumé dans cette phrase :"nous ne vendons pas notre production, on nous l'achète".
L'activité agricole est particulière car elle est faite par une multitude de producteurs: elle est très atomisée. D'où des difficultés à avoir une cohésion forte et pourtant nécessaire face aux quelques groupes agro-alimentaires qui sont nos clients.
Tout le monde le sait bien mais lorsqu'un secteur est touché par la crise, les producteurs s'entendent souvent entre eux pour assainir le marché. C'est certes interdit par Bruxelles mais c'est pourtant bien pratiqué. Qu'ont fait les conserveurs il y a quelques années quand les boites de conserve de petits pois ne se vendaient plus en grandes surfaces et quand ils étaient présurisés de ce fait par les grandes surfaces?
Réponse: Ils ont décidé de raréfier l'offre en baissant leur production.
La question que l'on doit se poser est la suivante: pouvons-nous appliquer ce genre de stratégie au niveau des agriculteurs ou des éleveurs?
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