Agriavis recueille l'avis des agriculteurs sur les matériels, semences et plants, engrais, produits phytosanitaires, services et produits pour les animaux qu'ils utilisent sur leur exploitation
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Des producteurs de lait ont symboliquement "porté plainte" mercredi contre l'industrie laitière
Les représentants des Jeunes agriculteurs de la Sarthe et de Loire-Atlantique accusent l'industrie laitière de ne pas respecter ses engagements.
Ils prévoient des actions dans plusieurs régions de France pour protester contre la non-application par les groupes Lactalis, Bongrain et Bel d'un accord de 2009 sur la hausse du prix du lait.
Ils ont été reçus par des magistrats des tribunaux de commerce du Mans et de Nantes, à qui ils ont expliqué leurs griefs :"Nos 'plaintes' n'ont pu être enregistrées pour des raisons de procédure, mais il s'agissait avant tout de poser un acte symbolique", a précisé Etienne Fourmont, responsable lait des Jeunes agriculteurs des Pays de la Loire.
Dans la Sarthe, les producteurs se sont également rendus dans une grande surface du Mans où ils ont apposé des autocollants "Cette marque vole les agriculteurs" ou "Produit non équitable" sur des produits laitiers de grande distribution, une action qui s'est déroulée "sans incident", selon M.Fourmont.
Lactalis, Bongrain et Bel, qui fabriquent ces produits phares de la fromagerie française, n'appliquent pas la hausse de 31 euros au millier de litres de lait prévu par un accord signé à l'été 2009. Les producteurs en colère demandent aux distributeurs et aux consommateurs de boycotter leurs fromages, le camembert Président, les fromages Caprice des Dieux et La vache qui rit, notamment.
"Aujourd'hui, c'était symbolique, mais cela va monter crescendo dans les campagnes" si aucun accord sur les prix du lait de juillet n'est conclu d'ici la mi-août, a souligné le représentant agricole en évoquant des blocages de camions et d'usines laitières comme lors de la crise laitière de l'an passé.
L'interprofession échoue depuis juin à s'entendre sur les prix à appliquer au troisième trimestre. Les producteurs, qui réclament une hausse de 11% des tarifs laitiers, reprochent aux industriels de ne pas respecter un accord de juin 2009 indexant les prix sur des indices aujourd'hui en hausse.
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Je ne bois pas de lait... vont m'en vouloir tu crois ?
En tout cas ils ont bien raison de gueuler même si je ne suis pas certaine que cela change quoi que ce soit au final... mais ça a le mérite de sensibiliser l'opinion publique.
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Ils se réveillent trop tard voila tout. Voila ce que c'est de faire confiance aux transformateurs.
Avec l'accord de juin 2009,les industriels ont eu ce qu'il ont voulu et ça fait plusieurs fois qu'ils ne respectent pas les accords. Ce sont des naifs qui croient en l'honneteté des indus ,la fnpl veut à tout prix défendre l'interprofession qui ne fonctionne plus . Les industriels ont pris trop de pouvoir au cniel.
L'industriel valorise le lait 1 e ( moyene produits laitiers départ usine) alors que le producteur
est payé 3O cts. Voila comment l'indus considère le producteur comme un vulgaire sous traitant. La matière première achetée le moins cher possible pour faire des bénéfices qui vont aller aux actionnaires et pour investir à l'étranger.
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bonjour a tous; tu sait steph on le sait deja ce que tu nous dit la ,ce qu il nous faut c'est des idees pour en sortir.des gars qui crient y'en a pleins les campagnes mais quand faut du nombre pour manifester y a plus personne,de plus si ont nous demande de faire des contract il faudra bien essayer de faire des groupes d agri pour negocier avec eux.je crois pas avoir raté beaucoup de manifs que se soit aux hyper ,la je suis le premier, qu aux laiterie meme a 100bornes de chez moi mais je veux pas que ca se retourne contre moi un jour
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Moi aussi j'y ai été aux manifs fédé,blocage de laiteries,manif à Laval le 3 juin 2009,on a aussi retiré des produits laitiers des gms mais pas trop longtemps les grands responsbles ont ordonné de les remettre le lendemain. Tout ça c'est de l'enfumage ,beaucoup d'agriculteurs croient encore qu'ils sont défendus ,j'en doute.
Le groupe d'agri pour négocier face aux laiteries ne fera pas le poids ( op) va voir comment ça se passe en suisse,la concurrence entre op a fait baisser le prix du lait de 30%. Certains se sont mis à produire plus de lait .
Le discours général coop privés,produisez plus pour etre compétitifs face aux allemands,quel que soit le prix . Dans un marché dérégulé ça sera toujous les industriels et les gms qui seront les gagnants. Le producteur et le consommateur lui il subit.
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Il faut se mettre l'opinion publique avec nous. C'est un de nos seuls moyens de défense.
En dehors de toute considération syndicale, la FRSEA Rhône-Alpes qui appelle au boycott des produits de Lactalis, Bongrain et Bel a raison de le faire. C'est une des seules façons de responsabiliser les industriels laitiers et de les amener à avoir une attitude juste vis-à-vis des éleveurs.
Les industriels dépensent des sommes importantes pour promotionner leurs produits (exemple: Caprice des Dieux...). Nous, agriculteurs, pouvons aussi utiliser l'arme médiatique pour rétablir un ordre juste des choses.
Le Caprice des Dieux est devenu en 2 jours le fromage de la honte.
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Petite question
Pourquoi la frsea Rhones Alpes fait une action qui est intelligente et les autres notemment la frsea ouest qui ne bouge pas .Ils attendent le 15 AOUT ? Il y a une coupure entre fnsea et fdsea qui se profile. La frsea est prete à se rallier aux autres syndicats et meme avec l'apli.
Si on veut faire plier les industries c'est TOUS ensemble.
L'apli a une longueur d'avance puisqu'elle propose le lait équitable d'ici la rentré et l'actualité nous montre qu'aujourd'hui dans la filière les industriels se ramassent une grosse partie du gateau laissant les restes aux producteurs.
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Il y a une cassure (un abîme) entre l'Apli et la FNSEA. Les syndiqués FD ont encore une fois cru aux belles promesses de leur leader... au final, tous b...... . Les indus ne respectent les accords que quand ils leurs sont favorables !! Nous ne sommes pas défendus par notre syndicat, qui, au contraire, a tout fait pour casser le magnifique mouvement apli qui nous a quand même rendu notre fierté d'entrepreneurs !!!
Mais vous allez voir que tout va s'arranger "temporairement" au moment du Space. Les prix vont birèvement monter juste avant, pour mieux s'écrouler juste après : JMLM a quand même son honneur à défendre et ses copains indus ne le laisseront pas tomber à ce moment là !!
Ne soyez pas dupes. On est entrain de se faire enfler ROYALEMENT !!!
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Oui ,gauffrette ,on se fait avoir et les agriculteurs de la fédé ne voient rien.
Souvenez vous avec l'histoire ENTREMONT en 2008 . Lemaitayer avec obtenu un accord avant le space pour calmer le jeu.
Quand est ce que les producteurs vont se REVEILLER?
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"Les laiteries veulent le beurre et l'argent du beurre"
Dénonçant une situation toujours bloquée avec l'industrie laitière, des prix inacceptables et des accords inappliqués depuis la crise de l'automne 2009, les producteurs laitiers en appellent à Nicolas Sarkozy.
La crise du lait n'était qu'assoupie ; elle se réveille à présent, et de manière de plus en plus virulente. "Rien n'a changé depuis un an", regrette Yves Sauvaget, responsable de la commission lait à la Confédération paysanne. Les discussions avec les industriels du secteur pour fixer le prix d'achat du lait ont échoué jusqu'à présent ; la conséquence directe étant que les producteurs ignorent toujours, en ce début août, à quel prix leur sera payé le lait qu'ils livrent depuis début juillet. Une contrainte inacceptable pour eux.
Une situation qui rappelle étrangement celle de l'automne dernier, qui avait alors déclenché une grave crise du lait et l'arrêt des livraisons aux industriels, certains producteurs n'hésitant pas à répandre leur production en plein champ - geste spectaculaire et désespéré en forme d'appel à l'aide. Outre les prix, jugés trop bas, les producteurs de lait dénonçaient alors un système de fixation des prix qui ne permettait aucune visibilité, puisqu'ils étaient informés des prix après les livraisons. Nicolas Sarkozy lui-même avait dénoncé ce fonctionnement lors d'un discours à Poligny, dans le Jura, le 27 octobre. "Peut-on admettre qu'un producteur de lait qui travaille sans compter ses heures du 1er au 31 janvier, ne connaisse le prix de son travail que le 10 février, et par une fiche de paye ?" avait demandé le chef de l'Etat.
"Que les politiques se remettent au travail"
Or, aujourd'hui, aucun tarif n'a encore été fixé pour les livraisons prévues de juillet à septembre. "Et la contractualisation (prévue par la loi de modernisation de l'agriculture adoptée début juillet) n'y changera rien", estime Yves Sauvaget avant de souhaiter que "les politiques se remettent au travail pour qu'on sorte de cette situation". Or, le temps presse pour les producteurs, pris à la gorge : "la paye du lait doit tomber entre le 12 et le 15", souligne Yves Sauvaget.
Face à cette impasse, les producteurs commencent à reprendre leurs manifestations devant les laiteries. Ils réclament une hausse de 10% des tarifs laitiers pendant le trimestre, à laquelle les industriels ne sont pas opposés, au vu des marchés. Mais ces derniers demandent aussi de prendre en compte dans le calcul des prix, à partir de 2011, l'évolution des tarifs du lait en Allemagne. Ce que les producteurs français refusent puisque leurs volumes de production sont limités, contrairement aux volumes allemands, et que le prix payé Outre Rhin est plus faible.
"Les marchés vont beaucoup mieux qu'en 2009"
"Les laiteries ne peuvent pas avoir le beurre et l'argent du beurre", s'indigne pour sa part Henri Brichard, président de la Fédération nationale des producteurs de lait (FNPL), syndicat majoritaire affilié à la FNSEA, en prévoyant des actions plus musclées dès cette semaine. "Les marchés vont beaucoup mieux qu'en 2009. Au moment où les producteurs pensaient en avoir les répercussions, les industriels ne sont pas d'accord. Les exploitants ne comprennent pas qu'après une année catastrophique on ne leur donne pas leur juste dû alors que les cours sont bons. On a l'impression que quand ça va mal, on nous le répercute mais que quand ça va bien, on ne nous répercute qu'une petite partie".
En 2009, les prix étaient descendus "jusqu'à moins de 200 euros les 1000 litres", rappelle le patron de la FNPL et tournaient "autour de 275 euros au deuxième trimestre 2010". Au trosième trimestre, période où les prix sont plus élevés pour cause de production plus rare, "on s'attendait à 330-334 euros, or on nous propose presque 20 euros de moins". Et les producteurs font état aussi d'une hausse de leurs charges, avec l'augmentation actuelle des prix du blé de 30% pour cause de sécheresse en Europe.
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bonjour la laiterie nous a envoyé les prix juillet aout 312 et 313 c est pas terrible et ils commencent deja a dire qu il faudra donner des prets de quota pour attenuer le manque de produits laitiers donc la hausse de nos prix. jusqu ou devra t on aller cette fois ci pour retrouver des prix du lait qui paient notre travail? est ce qu on peut compter sur les politiques pour qu ils nous aident a creer un outil pour faire pression? je suis pas sur que ce soit en se divisant et en se tirant dans les pattes les uns des autres qu on avancera ,ca doit en faire rire certains!
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Lisez plutôt cela.
Ca vient de tomber: http://www.agriavis.com/news-2893-prix+ … ances.html
Quel cynisme de la part des industriels!!!!!
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si nicolas est pas en vacances ca serait le moment que son gouvernement fasse quelque chose .de provocation en provocation l affaire va touner au tragique ;y a des agri qui n ont plus rien a perdre!
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cela commence à grogner sec par chez nous !!! le pire ,c'est que les manifs vont devenir dangereuse !! il y en a pas mal au bout du rouleau !!!
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achille a écrit:
le pire ,c'est que les manifs vont devenir dangereuse !!!
non , c'est pas le pire , c'est le meilleur qui pourrait arriver ... le syndicat majo n' a fait que garder les moutons depuis des années ... Les moutons vont peut-être attraper des dents de loup . Le monde actuel est une guerre économique permanente en exploitant les plus faibles et les plus encadrés ... brisez vos chaînes ... j'espère que les paysans vont cesser de croire au père noël .
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jean-fran a écrit:
achille a écrit:
le pire ,c'est que les manifs vont devenir dangereuse !!!
non , c'est pas le pire , c'est le meilleur qui pourrait arriver ... le syndicat majo n' a fait que garder les moutons depuis des années ... Les moutons vont peut-être attraper des dents de loup . Le monde actuel est une guerre économique permanente en exploitant les plus faibles et les plus encadrés ... brisez vos chaînes ... j'espère que les paysans vont cesser de croire au père noël .
vu sous cet angle !!!!
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qui a encore quelquechose à perdre ? seul consolation l'apli travaille même si ça ne se voit pas encore
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oui,préparons la riposte mais pas de casse .
On se fait mener depuis le syndicat soit disant responsable.
Ca s'est sur les industriels ont été trop loin et la ils vont le payer.
L'apli ne fait pas de bruit et le projet de l'office avance.
Je le redis plus nous serons nombreux à l'office du lait et plus nous pourrons peser face aux industriels,de toute façon nous n'avons plus rien à perdre.
Pour les rallonges dans l'ouest c'est mal parti vu les prochaines récoltes de mais fourrage avec peu de grain . Peu de stocks pour finir alors on verra bien,on produira si le prix est plus élevé sinon c'est pas la peine.
Petite idée de riposte face aux indus .
1 BOYCOTT des appros qu'ils vendent ( lactalis,bongrain...) en plus de nous voler
2 Refaire une facture de la différence qui nous est DU
3 RETIRER les produits laitiers ( bongrain bel lactalis danone...) des rayons gms
4 Installer des baches près des axes routiers pour informer les citoyens qu'on se fait racketter par nos acheteurs ( la mafia)
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steph72 a écrit:
oui,préparons la riposte mais pas de casse .
On se fait mener depuis le syndicat soit disant responsable.
Ca s'est sur les industriels ont été trop loin et la ils vont le payer.
L'apli ne fait pas de bruit et le projet de l'office avance.
Je le redis plus nous serons nombreux à l'office du lait et plus nous pourrons peser face aux industriels,de toute façon nous n'avons plus rien à perdre.
Pour les rallonges dans l'ouest c'est mal parti vu les prochaines récoltes de mais fourrage avec peu de grain . Peu de stocks pour finir alors on verra bien,on produira si le prix est plus élevé sinon c'est pas la peine.
Petite idée de riposte face aux indus .
1 BOYCOTT des appros qu'ils vendent ( lactalis,bongrain...) en plus de nous voler
2 Refaire une facture de la différence qui nous est DU
3 RETIRER les produits laitiers ( bongrain bel lactalis danone...) des rayons gms
4 Installer des baches près des axes routiers pour informer les citoyens qu'on se fait racketter par nos acheteurs ( la mafia)
Moi, j'en ai ras le bol des gentilles ripostes. Pour ceux qui vont mettre la clé sous la porte, la société va être impitoyable... et nous devrions rester gentils ????
Ce discours commence à me courrir ...grave !!
De toutes façons, ça va pêter dans tous les sens en septembre. Qui l'a cherché ????
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achille a écrit:
jean-fran a écrit:
achille a écrit:
le pire ,c'est que les manifs vont devenir dangereuse !!!
non , c'est pas le pire , c'est le meilleur qui pourrait arriver ... le syndicat majo n' a fait que garder les moutons depuis des années ... Les moutons vont peut-être attraper des dents de loup . Le monde actuel est une guerre économique permanente en exploitant les plus faibles et les plus encadrés ... brisez vos chaînes ... j'espère que les paysans vont cesser de croire au père noël .
vu sous cet angle !!!!
+ 1000000000000..............................
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J'entends souvent ces phrases de la part des producteurs de lait:"on ne nous paie pas assez notre production!!"
a aucun moment le producteur ne se situe comme Vendeur ,mais adopte une posture de Salarie vis a vis de son Client !!
Pourquoi?
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Parce qu'il n'a pas d'autres choix et c'est justement ça que le producteur veut changer !!!
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Y a t-il un seul texte Reglementaire ou legislatif qui interdit au producteur de vendre au prix qu'il désire ?
finalement le problème du producteur est celui de n'importe quel commercant. A savoir : vendre au meilleur prix dans un marche libéral , concurrenciel et mondialise .
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Torquemada a écrit:
finalement le problème du producteur est celui de n'importe quel commercant. A savoir : vendre au meilleur prix dans un marche libéral , concurrenciel et mondialise .
Alors OK avec cela à 100 % mais on supprime toutes les contraintes Européennes et franco Françaises , pour produire sur le marché mondial et on arrête d'entretenir les chambres d'agriculture et les DDt ... et surtout que d'autres aillent vendre des produits de qualité tracés qui nous sont rémunérés au prix mondial ;
chez un commerçant , tout se paye et surtout la qualité !
les prix doivent etre en rapport avec les contraintes .
Dernière modification par jean-fran (03/08/2010 12:32:05)
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jean-fran a écrit:
Torquemada a écrit:
finalement le problème du producteur est celui de n'importe quel commercant. A savoir : vendre au meilleur prix dans un marche libéral , concurrenciel et mondialise .
Alors OK avec cela à 100 % mais on supprime toutes les contraintes Européennes et franco Françaises , pour produire sur le marché mondial et on arrête d'entretenir les chambres d'agriculture et les DDt ... et surtout que d'autres aillent vendre des produits de qualité tracés qui nous sont rémunérés au prix mondial ;
chez un commerçant , tout se paye et surtout la qualité !
les prix doivent etre en rapport avec les contraintes .
j'apparente cela à du "chômage" déguisé ! en France s'il n'y avait pas toute cette bureaucratie ça ferait un paquet de chômeur en plus , et ça les politiques n'en veulent pas .
et temps que l'on n'aura pas mis de l'ordre la dedans , on ne s'en sortira pas .
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