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Voilà, le titre en dit déjà un peu. Donc depuis 4 ans, il est difficile de produire assez de marchandise pour nourrir les animaux. J'ai pensé ce soir à créer ce sujet de discussion si vous le voulez bien et si on échangeait nos idées et nos pratiques pour pouvoir faire assez de stock, une chose est sure, ce n'est pas encore gagné pour cette année...
Dans la région, certains ont remplacé le ray grass italien par du seigle histoire de gonfler un peu mieux les silos.
On peut aussi semer pas mal de choses après la moisson pour faire paturer à l'automne, j'ai eu essayé d'enrubanner de l'avoine en octobre-novembre, je ne recommencerai plus jamais...
Certains testent du sorgho à la place du mais , le tout est d'avoir la chance d'avoir un orage ou deux au démarrage...
Un méteil, déjà essayé en 2016 après un orge, quasiment pas d'eau, un triste résultat...
Ou alors, il faudra se rendre à l'évidence, réduire sérieusement le chargement en ugb...
Et vous, que tentez-vous ?
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Oui meteils desuite après les céréales sans attendre que ça sèche et en semis simplifiés ...
Pâturés a l automne ou faucher au printemps avant maïs
Prairies.brome luzerne.après orges fauché a l automne
Le plus possible de prairies nouvelles...-de5ans
On réfléchi a agrandir l etang pour irrigation goutte a goutte
Garder la matière organique en surface
Binage des maïs...
Pas mal de chaulage...
Après sur les près naturels y a pas de miracle
On essaye de faire du sursemis de rga et fleole
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Deja faire de la culture fourragere (labour)la ou ça merite de l'etre c'est tout con mais entre une prairie qui donne mini 2 coupes une au printemps et au pire une autre a l'automne c'est toujours mieux que de sortir un maïs d'1m50 qui n'aura pas grand valeur alimentaire,le sorgho multicoupe c'est vraiment aleatoire , l'ensilage de céréales immature puis un maïs derriere c'est le top sous condition d'avoir de la pluie et ne pas craindre de semer son maïs en juin y a 50% de chance pour que ça merdouille quelques par,2 bonnes cultures sur une meme parcelle c'est rare bien souvent l'une penalise l'autre....moi j'ai choisi la diminution de cheptel...
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En culture dérobé il y a le moha qui marche pas mal j'en sème après les blés pour enrubanner à l'automne pour donner l'hiver au génisses, il n'a pas besoin de beaucoup d'eau seul chose dommage c'est que l'on peut pas faire deux coupe sa ne repousse pas.
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avoine hybride
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comme didier
méteil ensilé puis mais
ou méteil sous couvert d une prairies multi espèces pour 5 ans
derrière céréales c est très aléatoire une année sur 3 pour moi du au sec
moha ,colza fourrager...etc
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Il semble que vous abordiez la difficulté de produire suffisamment de marchandises pour nourrir les animaux au cours des dernières années. C'est en effet un défi majeur auquel sont confrontés de nombreux agriculteurs et éleveurs. Vous proposez d'échanger des idées et des pratiques pour améliorer cette situation.
Le remplacement du ray-grass italien par du seigle dans les silos est une idée intéressante pour augmenter les stocks. Le seigle peut offrir une alternative viable en termes de rendement et de disponibilité.
Semer des cultures après la moisson pour la pâture automnale est également une pratique valable. Cela permet de tirer parti des terres déjà utilisées et d'optimiser leur productivité en fournissant une source supplémentaire de nourriture pour les animaux.
Vous mentionnez également l'expérience d'enrubanner de l'avoine en octobre-novembre, qui n'a pas donné les résultats escomptés. Il est important de prendre en compte les conditions climatiques et les périodes de semis appropriées pour chaque culture afin d'optimiser les chances de succès.
L'essai du sorgho en remplacement du maïs est une autre idée intéressante, bien que cela dépende de la disponibilité d'orages au démarrage, ce qui peut être aléatoire.
En ce qui concerne le méteil, vous mentionnez une expérience peu concluante en 2016 avec un résultat décevant en raison d'un manque d'eau. La disponibilité en eau est en effet un facteur crucial pour la réussite des cultures, il est donc important de prendre cela en compte lors du choix des cultures à cultiver.
Dans l'ensemble, l'échange d'idées et de pratiques entre agriculteurs et éleveurs est bénéfique pour trouver des solutions face aux défis de la production de nourriture animale. Il est important de continuer à expérimenter, à s'adapter aux conditions locales et à partager les connaissances pour trouver des méthodes efficaces et durables afin de faire face à ces difficultés.
Dernière modification par scorpionne82 (15/05/2023 01:16:16)
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