Agriavis recueille l'avis des agriculteurs sur les matériels, semences et plants, engrais, produits phytosanitaires, services et produits pour les animaux qu'ils utilisent sur leur exploitation
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Le Parlement a adopté définitivement jeudi 23 janvier, une proposition de loi écologiste qui interdit les pesticides dans les espaces verts publics et dans les jardins particuliers. Les surfaces agricoles, qui représentent 90 % de la consommation de ces produits, ne sont pas concernées par cette mesure.
Les pesticides seront bannis des espaces verts publics dès 2020 et des jardins privés à partir de 2 022. Sur proposition du groupe écologiste, cette loi a été votée à l’Assemblée nationale par les socialistes, les radicaux de gauche et bien sûr écologistes. UDI et Front de gauche ont voté pour. Les élus UMP se sont prononcés contre ou abstenus.
Projet de loi complémentaire pour l’agriculture
Ce texte est « une nécessité » pour la santé publique et la protection de l’environnement, a estimé le ministre de l’Écologie Philippe Martin, relevant toutefois que 90 % des produits phytosanitaires étendus le sont en agriculture. Un projet de loi complémentaire, dit « d’avenir agricole », voté mi-janvier en première lecture à l’Assemblée, posait quelques jalons pour le domaine agricole, notamment un suivi après la mise sur le marché des pesticides.
Près d’un Français sur deux, jardinier amateur, concerné
La proposition de loi votée jeudi, déjà adoptée par le Sénat en novembre, interdit donc à partir du 1er janvier 2020 l’usage des produits phytosanitaires par l’État, les collectivités locales et établissements publics pour l’entretien des espaces verts, promenades, forêts. Ce délai doit leur permettre de s’adapter à de nouvelles méthodes de travail notamment. Près de 40 % des communes sont déjà à « zéro phyto », selon le groupe écologiste. Seront exemptées les voies ferrées, pistes d’aéroport et autoroutes. Les pesticides pourront toujours être utilisés en cas d’urgence sanitaire. Par ailleurs, à partir du 1er janvier 2022, pour laisser le temps aux industriels de s’adapter, la commercialisation et la détention de produits phytosanitaires à usage non professionnel seront interdites. Cette disposition vise les 45 % de Français jardiniers amateurs.
La France premier consommateur de pesticides en Europe
La France reste le premier consommateur de pesticides en Europe, malgré le plan « Ecophyto » lancé en 2008 et prévoyant d’en réduire l’usage de 50 % d’ici à 2018. « Pourquoi légiférer à nouveau puisque le processus est en marche ? », a demandé Antoine Herth (UMP), y voyant « une volonté de surenchère » des écologistes « à proximité des échéances électorales ». « Ce n’est pas de l’écologie que vous faites, c’est de l’écolobotomie », a lancé son collègue Jean-Charles Taugourdeau. Rejetant le terme « pesticides », il a souligné que sémantiquement, les produits phytosanitaires « sont faits pour soigner les plantes ».
En appui, le député Gérard Bapt (PS), connu notamment pour son engagement contre les perturbateurs endocriniens, a mis en avant une série d’études montrant l’impact sanitaire de l’utilisation des pesticides. Plusieurs orateurs à gauche ont rappelé le « scandale » du chlordécone, pesticide employé aux Antilles entre 1973 et 1993 et interdit depuis, mais dont la présence persistante dans les sols et rivières continue à contaminer les cultures, viandes et poissons.
Jean-François Fournel avec AFP
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Ma commune désherbait les trottoirs gravillonnés une ou 2 fois par an
Elle a stoppé et 3 années plus tard les trottoirs sont devenus des jachères : les riverains ont prétendus que ce devaient être aux employés communaux d'effectuer l'entretien
Pour faire face , la commune a mis en place un goudronnage réglant le problème SAUF QUE , dans nos collines les eaux arrivent au point bas à toute vitesse et comme il a plu 44 mm hier par exemple -----on envisage de baisser le niveau de l'océan pour défournir : ça c'est une blague -----quoique les zones construites en aval sur des terrains qui étaient des marécages il y a moins d'un siècle voit le niveau monter bien plus souvent -------mais le "réchauffement climatique " a le dos large
Je connais une loi qui dit que : le propriétaire du bas doit recevoir l'eau du haut MAIS que le propriétaire du haut ne doit pas modifier le cours et le débit = va encore falloir légiférer et - - - - faire payer les assurances
ET , C EST QUI QUI PAIE DES COTISATIONS ? ? ? ?
Dernière modification par nivelle (23/01/2014 20:01:39)
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je pense que c'est bien qud meme ... d'autant que les produits appliqués ds des allees ou sur des trottoirs ça va bien plus vite vers les rivieres que ceux epandus ds les champs ...
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Ayant travaillé dans un libre service agricole avant de m'installer, je pense que c'est une bonne mesure car franchement quand on voit les quantités de produits acheté par les jardiniers amateurs...ça fait peur...
L'exemple du produit phare pour le doryphore. Le flacon devait faire pour 100 l mais personne ne respecter et defois mettait les quelques ml du flacon dans le pulvé de 5l...
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Kaxsaka19 a écrit:
Ayant travaillé dans un libre service agricole avant de m'installer, je pense que c'est une bonne mesure car franchement quand on voit les quantités de produits acheté par les jardiniers amateurs...ça fait peur...
L'exemple du produit phare pour le doryphore. Le flacon devait faire pour 100 l mais personne ne respecter et defois mettait les quelques ml du flacon dans le pulvé de 5l...
sur ce point là, je suis à 100% d'accord avec toi!
les particuliers ne se posent pas la question du surdosage quand c'est pour eux!
et pôur nous, ce sont les premiers à crier au scandale!
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à en voila une bonne affaire
mais ont à pas finit d'entrendre pas ses ex pollueur qui mettait dix voir 100 fois la dose de glyphos dans leur cour au lieu d'arracher trois bruns d'herbes; que ce sont nous les pollueurs, ils n'ont pas compris que l'on respectait mieux les doses réglementation que eux et vu le prix ont va pas le balancer dans la nature pour le plaisir
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Je pens que ces la plus grosse connerie que l'on puisse pondre quand on voit les dose employé aujourd'hui ces vraiment pour faire chier le monde excuser moi du terme mais c est une réaliter on aime payer les gens à rien faire
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Le glypho introuvable en grand public ça va être l'occasion pour les agri de faire un peu de business.
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Fly49 a écrit:
Le glypho introuvable en grand public ça va être l'occasion pour les agri de faire un peu de business.
Y'a pas! il y en a toujours un qui a la bosse du commerce! ah!, ces paysans!
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