Agriavis recueille l'avis des agriculteurs sur les matériels, semences et plants, engrais, produits phytosanitaires, services et produits pour les animaux qu'ils utilisent sur leur exploitation
Vous n'êtes pas identifié.
Discussion | Réponses | Dernier message | |
---|---|---|---|
AX RESALES par futurefuture
|
3 | 2058 | Hier 18:16:51 par dirahot46911 |
Discovering Adorably Cute Date Ideas par JohnPetty
|
1 | 1168 | Hier 14:48:59 par dirahot46911 |
How do Ecommerce apps boost your sales? par Amelia Sebastian
|
3 | 1557 | Hier 13:47:06 par dirahot46911 |
La vie quotidienne sur une ferme viking par orpailleur79
|
1 | 5730 | Hier 13:27:19 par dirahot46911 |
5 Online Class Tips that Will Help You Get the Grade par anngardner97
|
2 | 4726 | Hier 12:17:13 par dirahot46911 |
Pages: 1
JE met ici le lien pour l'imprimer de demande de référence suplementaire TSST 2012 a remplir par tous producteur qui souhaite une référence suplémentaire puisque même pour le 1% a tout exploitant il faut faire la demande!
A DEPOSER POUR LE 13 JUILLET 2012
http://www.applications.mayenne.develop … 012_V3.pdf
Hors ligne
par chez vous vous ne les recevez pas par la laiterie et a renvoyer a la ddtm?
Hors ligne
Hors ligne
Je suis d'accord parce que travailler plus pour ne pas gagner plus, non merci pour moi aussi.
Hors ligne
titian a écrit:
ça va non merci, autant vendre du maïs
pas faut, mais quand tu as un bâtiment à ammortir, où de la moins d'oeuvre dispo, cela peut être judicieux, à voir au cas par cas, si un facteur limitant n'est pas déja atteind (cf les travaux de Benoit Rubin, INRA de Derval), mais bon, c'est loin d'être le discours de nos OPA "produire plus pour être compétitif" ou "faire du volume pour diluer les charges fixes".
Pas sur que ce soit trés rentable de le produire avec du concentré à 280 €/T, surtout si la réponse n'est que 0,6, ce litrage supplémentaire.
Hors ligne
d'accord avec sebast, moi j'ai un robot à amortir et un peu de quota en + ne fera pas de mal. Et si après la fin des quotas ils se basent sur notre quota pour définir les quantités payés en prix A,ça peut valoir le coup.
Hors ligne
sebast a écrit:
titian a écrit:
ça va non merci, autant vendre du maïs
pas faut, mais quand tu as un bâtiment à ammortir, où de la moins d'oeuvre dispo, cela peut être judicieux, à voir au cas par cas, si un facteur limitant n'est pas déja atteind (cf les travaux de Benoit Rubin, INRA de Derval), mais bon, c'est loin d'être le discours de nos OPA "produire plus pour être compétitif" ou "faire du volume pour diluer les charges fixes".
Pas sur que ce soit trés rentable de le produire avec du concentré à 280 €/T, surtout si la réponse n'est que 0,6, ce litrage supplémentaire.
Tu oubli aussi le fameux concept de produire du lait suplémentaire au coût marginal
Mais il est vrai que tout ça conserve un trés bons échos tant que le producteurs est et se sent bridé, ensuite vient le temps de la rélativisation et de la lutte aux différents formatages.
Elle peut prendre plusieurs visages et pas forcément des plus antiéconomique et avec tout autant d'éfficacité, comme avec la despécialisation, désaturation des bâtiments et des travailleurs ou encore la recherche d'autonomie.
Dernière modification par titian (11/07/2012 10:22:14)
Hors ligne
moi aussi j'ai un robot à amortir !! mais je l'amorti mieux avec des céréales !!!!
Hors ligne
achille a écrit:
moi aussi j'ai un robot à amortir !! mais je l'amorti mieux avec des céréales !!!!
En effet, maintenir la production laitière est aussi une bonne façons de défiscaliser le revenue des céréales
Hors ligne
nico57 a écrit:
Et si après la fin des quotas ils se basent sur notre quota pour définir les quantités payés en prix A, ça peut valoir le coup.
T'est pas le seul à faire ce petit calcul, mais je ne suis pas du tout sur que cela marchera dans se sens là, trop simple, le but c'est plutôt qu'il reste toujours une fraction de ton lait produit à payer au prix B, voire C et encore plus si affinités. Sinon à quoi vont bien pouvoir servir les prévisionels de collectes mensuels à atteindre
Dernière modification par titian (11/07/2012 13:51:17)
Hors ligne
titian a écrit:
nico57 a écrit:
Et si après la fin des quotas ils se basent sur notre quota pour définir les quantités payés en prix A, ça peut valoir le coup.
T'est pas le seul à faire ce petit calcul, mais je ne suis pas du tout sur que cela marchera dans se sens là, trop simple, le but c'est plutôt qu'il reste toujours une fraction de ton lait produit à payer au prix B, voire C et encore plus si affinités. Sinon à quoi vont bien pouvoir servir les prévisionels de collectes mensuels à atteindre
Quota A et B
Usine à gaz, je ne pense pas que ce systéme perdura, en plus avec la volatilité du lait spot.
Je pense plutôt que le systéme va se simplifier, tu produit ce que tu veut du moment que tu trouve un acheteur, et pour le prix, c'est valorisation beurre-poudre, voilà vers quoi on se dirige à mon avis
Hors ligne
titian a écrit:
sebast a écrit:
titian a écrit:
ça va non merci, autant vendre du maïs
pas faut, mais quand tu as un bâtiment à ammortir, où de la moins d'oeuvre dispo, cela peut être judicieux, à voir au cas par cas, si un facteur limitant n'est pas déja atteind (cf les travaux de Benoit Rubin, INRA de Derval), mais bon, c'est loin d'être le discours de nos OPA "produire plus pour être compétitif" ou "faire du volume pour diluer les charges fixes".
Pas sur que ce soit trés rentable de le produire avec du concentré à 280 €/T, surtout si la réponse n'est que 0,6, ce litrage supplémentaire.Tu oubli aussi le fameux concept de produire du lait suplémentaire au coût marginal
Mais il est vrai que tout ça conserve un trés bons échos tant que le producteurs est et se sent bridé, ensuite vient le temps de la rélativisation et de la lutte aux différents formatages.
Elle peut prendre plusieurs visages et pas forcément des plus antiéconomique et avec tout autant d'éfficacité, comme avec la despécialisation, désaturation des bâtiments et des travailleurs ou encore la recherche d'autonomie.
cout marginal
c'est un terme à la mode, assez vague et qui ne veut pas dire grand chose, difficilement chiffrable, et surtout trés variable d'un producteur à l'autre
Je préfére parler d'optimisation du systéme qui prend tout les éléments (MO; SFP; STH; pâturage, intéraction entre les ateliers, Bätiment,.....................) et de cohérence qui voit plus loin qu'un quota à remplir où une allocation (le fameux 1Kg de concentré à 0,38€ pour 0,6 l de lait à 0,30 €
Hors ligne
sebast a écrit:
titian a écrit:
nico57 a écrit:
Et si après la fin des quotas ils se basent sur notre quota pour définir les quantités payés en prix A, ça peut valoir le coup.
T'est pas le seul à faire ce petit calcul, mais je ne suis pas du tout sur que cela marchera dans se sens là, trop simple, le but c'est plutôt qu'il reste toujours une fraction de ton lait produit à payer au prix B, voire C et encore plus si affinités. Sinon à quoi vont bien pouvoir servir les prévisionels de collectes mensuels à atteindre
Quota A et B
Usine à gaz, je ne pense pas que ce systéme perdura, en plus avec la volatilité du lait spot.
Je pense plutôt que le systéme va se simplifier, tu produit ce que tu veut du moment que tu trouve un acheteur, et pour le prix, c'est valorisation beurre-poudre, voilà vers quoi on se dirige à mon avis
Mile diou, tu rève collègue , surtout pas ça, l'enfumage et le flou artistique est trop rémunérateur ( enfin pas pour tout le monde ), c'est vraiment pas cohérent avec l'évolution qui nous est promis quoique en dises SLF et ses incantations ( la preuve par 3 de hier au soir sur LCP ), et faut surtout pas espérer réellement se comparer encore moins aujourd'hui que demain, le top c'est que bientôt on va même plus pouvoir dire à quel prix moyen on vend le lait sur un mois.
Hors ligne
sebast a écrit:
cout marginal
c'est un terme à la mode, assez vague et qui ne veut pas dire grand chose, difficilement chiffrable, et surtout trés variable d'un producteur à l'autre
On est bein d'accord, je dirai même qu'il ne veut rien dire, et j'irais même jusuqu'a affirmer qu'il se rapproche de l'escroquerie intellectuelle.
Dernière modification par titian (11/07/2012 20:18:23)
Hors ligne
De toute façon, vu le nombre d'opérateur dans la transformation laitiére chez nos voisins, va y avoir de la restructuration chez les industriels en france et en allemagne, d'ailleurs, c'est déja bien parti,MUH, arla, fronterra,.....ne s'enquiquine pas avec un systéme de paiement complexe, et plus c'est simple pour fixer le prix, moins y s'engeule à la maison du lait à paris et moins la DGCRF met son nez.
Surtout que les producteurs sont trés divisés, bienvenue dans le chacun pour soi
Dernière modification par sebast (11/07/2012 21:33:19)
Hors ligne
titian a écrit:
On est bein d'accord, je dirai même qu'il ne veut rien dire, et j'irais même jusuqu'a affirmer qu'il se rapproche de l'escroquerie intellectuelle.
Les belles paroles n'engagent que ceux qui y croient
Hors ligne
Pages: 1