Agriavis recueille l'avis des agriculteurs sur les matériels, semences et plants, engrais, produits phytosanitaires, services et produits pour les animaux qu'ils utilisent sur leur exploitation
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Pour Michel Portier, directeur d'Agritel: "Crise de la dette des Etats et baisse des matières premières seront très vite liés"
« La dégradation de la note souveraine de la dette américaine ébranle les marchés financiers, entrainant très vite dans leur sillage les marchés des matières premières agricoles. » explique Michel Portier, Expert, spécialiste de la gestion des risques de prix et directeur de la société Agritel, basée à Paris avec des bureaux à Kiev (Ukraine) et prochainement en Chine et Amérique du Sud.
En effet, ajoute Michel Portier, "si jusqu’à ces dernières semaines les cours des matières premières agricoles se maintenaient sur des niveaux relativement élevés, en dépit de la faiblesse des indices boursiers, la violence de la crise financière actuelle entraine cette fois-ci dans son sillage toutes les matières premières à l’exception d’une seule valeur refuge: l’or.
D’un point de vue fondamental, il y a une certaine logique qui est de dire que la crise économique équivaut à un ralentissement de la demande. Oui, jusqu’à un certain niveau, car nous sommes sur des produits de première nécessité et à faible élasticité. On constate une fois de plus la connexion qui peut exister entre tous les marchés et tous les produits, en dépit de leurs fondamentaux propres. C’est ainsi que ce lundi, après la poursuite de la chute des marchés boursiers, les cours du colza, par sympathie, cédaient 3.5% sans raison fondamentale.
Les marchés sur-réagissent aux indicateurs économiques.
Preuve est faite une nouvelle fois que la transparence des marchés ou que l’accentuation des flux d’informations sont source de volatilité, et non le contraire !
Faut-il rappeler que le G20, le 22 juin dernier, s’est attaché à vouloir une meilleure visibilité en termes d’information. Or encore une fois, le problème n’est pas tant la connaissance de l’information que le traitement qui en est fait.
A titre d’exemple : le monde entier savait, depuis plusieurs mois, qu’une crise alimentaire se profilait en Somalie. Et pourtant il me semble que les grands dirigeants de ce monde n’ont pris aucune mesure préventive pour empêcher ce scandale de l’humanité ! »
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Tant que les politiques n'appliqueront pas des programmes de réductions des déficits , il y a fort à parier que toutes les matières premières baisseront comme toutes les valeurs --------sauf l'OR
LA classe politique ne proposera pas un concenssus : l'opposition n'ayant aucune idée à proposer ne connait que dire NON sans justification
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nivelle a écrit:
Tant que les politiques n'appliqueront pas des programmes de réductions des déficits , il y a fort à parier que toutes les matières premières baisseront comme toutes les valeurs --------sauf l'OR
LA classe politique ne proposera pas un concenssus : l'opposition n'ayant aucune idée à proposer ne connait que dire NON sans justification
+ 1, çà m'étonnerais que le prix les carburants baissent aussi.
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Le carburant n'est pas une matière première : c'est un produit transformé
Le pétrole brut est une mp
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Michel Portier est le fondateur d'Agritel. Il possède cette particularité d'être à la fois agriculteur, ingénieur en agriculture de l'ISAB Beauvais et titulaire d'un 3 eme cycle en économie et gestion agro-alimentaire de l'ESSEC. Fort d'une double compétence agronomique et finacière, il a exercé pendant plus de quinze ans dans le domaine financier, dans la gestion des risques de devises et de taux d'intérêts. C'est en 2000 qu'il décide de mettre au service de la filière agricole et agroalimentaire ses compétences acquises dans la finance. Il crée ainsi la société Agritel spécialisée dans la gestion des risques de prix à travers trois domaines d'activité: la formation, l'information et le conseil.
A propos d’Agritel :
Agritel est une société de conseil spécialisée dans la gestion du risque de prix dans le secteur agro-alimentaire et agro-industriel, confronté à une volatilité des prix croissante. Agritel apporte les outils, les connaissances et le savoir-faire utilisés depuis plusieurs décennies dans le monde de la finance en matière de gestion des risques et de couverture. Agritel apporte surtout son expertise aux acteurs du monde financier sur les fondamentaux des marchés agricoles.Créé en 2001 par Michel Portier, Agritel décline aujourd’hui son expertise sur trois métiers : la formation, l’information et le conseil. Elle est présente en France et en Ukraine.
Gestion du risques = Assurance !!
La volatilité des marchés... c'est donc son gagne pain !
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Il y a toujours moyen de faire face à la volatilité des cours :
- Faire confiance au prix moyen de son O S
Si vous vous estimé capable de faire mieux : il ne faut pas hésiter mais apprendre à se servir de tous les "outils " mis à votre disposition . C'est un moyen de faire vivre , sans volatilité , quelques conseilleurs , quelques assureurs --------
Quel est le pourcentage de traders qui gagne régulièrement plus que le marché ?
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" Faire confiance au prix moyen de son O S"....et bien, ça ne va pas nous mener bien haut !!!
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+1 prix moyen des os , j y crois pas une seconde , car eux vont aussi le marché a termes avec des engagements recu pour des volumes en fevrier avant moison et on tout le temps de gerer ca et de se faire des ronds en gardant bien a l esprit que si l agri ne livre pas voulumes ou qualité on le plombe car il a signé un engagement mais ne font que du matif pendant ce temps la et on le temps de s assurer a la hausse ou la baisse et de fixer un prix moyen qu il determine un peu comme ils veulent
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C'est pas possible Sanracin
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C'est tellement volatil que ton affirmation va durer combien de saisons ?
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nivelle a écrit:
C'est tellement volatil que ton affirmation va durer combien de saisons ?
Oh, mais Doudou50 s'adapte à toutes les situations !! 
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SANRACIN a écrit:
Pourvu que le prix des engrais baisse aussi !!!!!!!!!!!!!!
C'est tellement pourri que le prix des engrais suit... le cours de nos produits !!
Chacun pompe ce qu'il a a pomper.
Donc, partant de cette logique, je préfère voir un engrais cher ...
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Un produit quelqu'il soit ne se vend pas : prix de revient + marge MAIS
SON prix est fonction du maximum que peut mettre un nombre d'acheteurs
AVEZ VOUS compris
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nivelle a écrit:
Un produit quelqu'il soit ne se vend pas : prix de revient + marge MAIS
SON prix est fonction du maximum que peut mettre un nombre d'acheteurs
AVEZ VOUS compris
C'est vrai pour certains produits, ça s'apelle le "prix psychologique". Mais attention, sur des produits concurrentiels, ça ne marche pas !!!
Au fait, il est de combien le prix "psychologique" du lait, de blé, de la viande.... et qui le détermine ???
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C'est simple : il faut appliquer la règle
Quand il y a trop de vendeurs les prix chutent et c'est le contraire quand il y a trop d'acheteurs
correction faite : merci Doudou
Dernière modification par nivelle (09/08/2011 21:57:49)
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nivelle a écrit:
C'est simple : il faut appliquer la règle
Quand il y a trop d'acheteurs les prix chutent et c'est le contraire quand il y a trop de vendeurs
Professeur Nivelle !?????????? 
Dernière modification par SANRACIN (09/08/2011 20:53:04)
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nivelle a écrit:
C'est simple : il faut appliquer la règle
Quand il y a trop d'acheteurs les prix chutent et c'est le contraire quand il y a trop de vendeurs
Peu importe que tu te sois un peu mélangé... de toute façon, ça ne marche ni dans un sens, ni dans l'autre puisque nous sommes sur des marchés de dupes où les infos quantitatives sont sans cesse contestées !!
Seuls certains initiés "commerciaux ou financiers" connaissent, et cette désinformation ça fait partie de leur stratégie de spéculation !
Dernière modification par liberté (09/08/2011 21:03:47)
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Effectivement j'ai corrigé -----mais vous aviez compris
Cela a toujours été sur les marchés la désinformation , la fausse info
Vous avez bien dans la famille des histoires de "marchands de vaches " du siècle dernier , voir avant dernier
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