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j'ai un peu d'activité ETA et TP à coté des mes céréales (une centaine d'Ha ne suffit pas pour vivre) effectivement coté temps de travail ça ne m'occuperais pas a plein temps c'est clair .
par contre le revers d'avoir autre chose a coté c'est que parfois certaines opérations sont faite a la va vite et pas toujours pile poil au bon moment .On ne peut pas optimiser comme on voudrait
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alors des qu'on parle pépettes y a personne pour alimenter le debat????????????
meme toi jean t'as pas des analyses de groupes a presenter?
meme en bretagne la tendance est ineluctable des que les surface augmentent les gars se posent ma question du maintien de l'elevage...................
mais on a un bleme notre climat rends difficile de faire du blé exportable- mise a part cette anéee- le climat assez humide altere les PS couramment en dessous de 76 et tres limite en proteine.................... donc nos principaux debouchés sont......................... les elevages porcs et volaille
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Il y a pas de honte à présenter des chiffres ,collègues céréaliers.
Les industriels laitiers font leur petits calculs ;comment encore gruger sur le dos du producteur pour augmenter la marge.
Ce qu'ils n'ont pas pris conscience,c'est que la baisse du nombre de producteurs va aller plus vite que prévue et en 2015,ils seront obligés de faire beaucoup de trajet pour s'approvisionner. Avec du pétrole cher,ça ne sera pas viable.
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faire des cereales ok mais il faut avoir assez de surface et des parcelles pas trop pentues qui peuvent etres cultivees.chez nous dans nos travers impossible et les exploits sont trop petites pour les grandes cultures. pour celui qui a de bonnes terres et pas mal de surface il serait bien con de continuer avec l'elevage: travailler plus pour gagner moins, ca va bien un moment
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steph72 a écrit:
Il y a pas de honte à présenter des chiffres ,collègues céréaliers.
Les industriels laitiers font leur petits calculs ;comment encore gruger sur le dos du producteur pour augmenter la marge.
Ce qu'ils n'ont pas pris conscience,c'est que la baisse du nombre de producteurs va aller plus vite que prévue et en 2015,ils seront obligés de faire beaucoup de trajet pour s'approvisionner. Avec du pétrole cher,ça ne sera pas viable.
je suis bien d'accord avec toi pour dire que les industriels laitiers sont des salops!
côté nouveau syndicalisme, ça bouge un peu et c'est tant mieux!
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+1 avec steph72
les industriels mettent a nouveau ou plutot encore la pression sur les eleveurs qui n'ont d'autres de choix que la vente de leur produit car non stockable.
ils oublient un peu vite que l'on attrape pas les mouches avec du vinaigre et comme je l'ai ecros plus haut on voit le niveau de remuneration des eleveurs.............. loin de la l'idée de polemiquer mais il va falloir un jour entamer une revolution ou on acceptera de payer un temps soit peu le travail d'un eleveurs car d'une part a la vitesse ou les exploit vont s'agrandir leur approvisionnement pourrait etre en peril et d'autres part quand on fait un sondage dans les ecoles d'agriculture il y a plus de jeune enclin au "matos" qu' a la traite!!!!!!!!
l'edito du speciale FA sur innovagri en dit long sur l'etat d'esprit des agri aujourd hui.......... veux-t-on je cite " des voisins ou des ha............... ils semblent que les choix sont faits"
alors s'il y a des TECHNOCRATES qui surveille nos propos il y a à mon avis peril en la demeure
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Pour compléter ceci a été laisser sur un autre forum par dxxk :
à lire ici : mneaquitaine.wordpress.com/2010/07/30/abandon-et-artificialisation-des-sols-agricoles-en-aquitaine-la-deprise-saccelere/
La déprise agricole s’accélère
L’agriculture continue de perdre du terrain. Ce rythme s’est accéléré par rapport à celui noté entre 1992 et 2004. Au total, entre 2006 et 2009, ce sont plus de 8 000 hectares qui sortent en moyenne chaque année du giron de l’agriculture régionale, contre 6 000 hectares annuellement entre 1992 et 2000 et 7 000 hectares entre 2000 et 2004.
Si l’urbanisme continue de gagner sur les terres libérées par l’agriculture il n’en est plus le premier bénéficiaire.
Des changements d’orientations
Depuis 2000, l’Aquitaine a connu une restructuration importante de plusieurs de ses filières et de ses exploitations. Au premier rang desquelles figure la filière laitière.
40% des exploitations détenant des vaches laitières en 2000 n’en possèdent plus aujourd‘hui. Cette évolution correspond un repli de 18% du cheptel laitier aquitain.
A la transmission de l’exploitation suite au départ en retraite du dirigeant, ou en raison des coûts de mise aux normes des bâtiments d’élevage mais également compte tenu de la présence quotidienne nécessaire à l’élevage, correspond une transformation de l’orientation de l’exploitation. La production de lait est souvent abandonnée. Dès lors, les surfaces en herbes associées à l’élevage sont réorientées vers des productions végétales. Ainsi, depuis 2006,12 000 hectares de prairie sont venus accroître les surfaces de grandes cultures.
Toutefois, quelle que soit l’orientation observée, seules les meilleures terres (agronomique ou mécanisable) bénéficient de ce transfert. Précédemment, le reliquat de terres non reconverties vers l’agriculture était soit reboisé, soit entretenu en attente.
Associés à des changements de pratiques
Tel n’est plus le cas aujourd’hui. Les surfaces non reconverties, quand elles ne rejoignent pas directement l’urbanisation, passent rapidement du statut de sols enherbés agricoles à celui de friches. Ainsi sur les 14 000 hectares nets gagnés par ces dernières en 2009, 12 000 étaient recensés en surface en herbe en 2006. Neuf fois sur dix, il s’agissait de prairies peu productives.
Faut-il y voir, dans une agriculture de plus en plus concurrencée, où maîtrise des coûts de production et viabilité économique des exploitations sont de plus en plus prégnantes, un effet de la spécialisation ? La question se pose.
Le déclin continu des surfaces toujours en herbe
Source : DRAAF / SRISET – Statistique Agricole Annuelle
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Pour ce qui est de la déprise laitière, le Gers est aussi un bon exemple, et ce n'est pas d'aujourd'hui.
Avec les agrandissement et une PAC favorable aux céréales, le lait est passé à la trappe dans bien des exploitations et ce même en zone pas forcément des plus faciles aux cultures.
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dans mon cas le problém ne s'est pas posé...ils ont debarqués"monsieur l'inspecteur de la dsv et 2 gendarmes,et m'ont dit: monsieur vous avez plus de 40 vaches....ben non....on peut les compter ...non non m'a -t-il repondu :si je vous l'affirme c'est ma parole qui fait foi...je suis nommé par le prefet donc J'AI la competence !
(ça se passe comme ça en france...la justice au pays de voltaire et rousseau)
Ayant tout ce qu'il fallait pour produire pas cher... je ne voulais pas me mettre aux normes à l'exterieur pour me retrouver à nouveau dans les endettements jusqu'à la retraite et rien de plus à ceder au bout ! j'ai arreté la machine à traire et je fait 30 hectares de blé....je m'etais dit que je trouverai bien une bonne idée....il y a 7 ans !
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On arrive à un tournant,soit on se bouge soit on se fait intégrer par les industriels .
Faut trouver une solution pour sortir de ce merdier ( grève des cotisations clasel pour commençer ) après on peut passer à d'autres fournisseurs si on n'est pas écoutés.
La crise ce n'est que pour les producteurs par pour ceux qu'on fait vivre.
Chez nous dans le 72,il reste environ 1300 points de collectes alors qu'on a 3 laiteries.
La sarthe un département avec des industriels mais qui va manquer de LAIT,ils vont de plus loin pour en chercher (pas dans le 28 ,le 37 ni dans le 41 ou les producteurs laitiiers sont rares.
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Le dégout... voilà ce qui s'installe dans nos têtes. Pas bon pour le moral ça !
Des prix en chute libre dans nos cours et une fois sorti de nos fermes, des produits qui valent de l'or !!
On se fait enfler comme des cons, à cause d'une interpro qui ne joue pas son rôle !! Nous détenons la matière et nous ne savons pas nous en servir. C'est pourtant élémentaire : des volumes en baisse et les cours flambent !!! Pas besoin d'avoir fait Bac +5 pour le comprendre. Mais non, on s'évertue à trouver les solutions pour une faire toujours plus pour compenser la perte de gain ???
Pour moi, le choix est entrain de se préciser. Quitte à ne rien gagner, autant ne rien faire !
Je suis née pour travailler et produire du mieux que je peux. J'en ai marre de passer des nuits blanches à compter et recompter. Je n'ai pas énormément de temps à dégager pour la lutte. Je fais le maximum mais ça n'aboutit pas ! J'ai juste envie d'une bonne révolution histoire de remettre les choses à plat et de dégager tous ces parasites improductifs qui nous gangrènent la vie.
Tant que le travail et la production n'auront pas retrouvé leurs lettres de noblesses, nous n'avanceront à rien. Trop de gens aujourd'hui pour compter, soustraire, analyser, spéculter... sur le dos des laborieux !
Le dégout je vous dis !! Marre d'être pris pour un blaireau, un cul terreux ! Il y a autre chose que les vaches, le blé, les cochons, les volailles dans la vie. Je suis à 10 ans de la retraite et j'ai envie d'autre chose ! 500.000 L de lait, 150 ha... et l'air n'est plus respirable.
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Gaufrette a écrit:
Pour moi, le choix est entrain de se préciser. Quitte à ne rien gagner, autant ne rien faire !
c'est ce que je me suis dis il y a 5 ans
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"Tant que le travail et la production n'auront pas retrouvé leurs lettres de noblesses, nous n'avanceront à rien. Trop de gens aujourd'hui pour compter, soustraire, analyser, spéculter... sur le dos des laborieux !"
Je suis comme toi j'espère voir ça un jour , tant le le système n'implose pas les travailleurs manuels auront du mal a être considérés .
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dgé a écrit:
Gaufrette a écrit:
Pour moi, le choix est entrain de se préciser. Quitte à ne rien gagner, autant ne rien faire !
c'est ce que je me suis dis il y a 5 ans
OK, mais tu as fait quoi il y a 5 ans ??
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bonne question !!!! tu as un jeune derrière toi ?? pour ma part , je dis toujours que 2013 sera un tournant dans ma carrière , et cela en surprend plus d'un quant je dis cela , mes emprunts se finissent pratiquement tous en 2013 , hormis mon robot (qui est facilement revendable ) un tracteur et un hangar à paille ! en clair ,je peux arrêter de traire !!!!! je n'aretterai pas la ferme ,mais je peux faire des céréale et mettre des bourrins ou faire du foin en attendant la permission de retourner les prairie car je suis persuader que cela va être autorisé d'ici là !! ou faire autre chose !! d'ici là ,cela va encore bouger !!
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Va bien falloir que l'autorisation de retourner les prairies revienne ici aussi , dans environ 5 ans le dernier producteur laitier sur ma commune prendra sa retraite (pas de succession ) et ça en sera fini du lait (la viande y en a plus depuis longtemps ) .En 20 ans ça sera passé de 6 ou 7 a zéro , les fermes sont soient reprise pour agrandissement soit continuent mais double activité (céréales + job extérieur) .c'est la qu'on mesure le discourt politiquement correct (installons des jeunes maintenons les petites exploitations ) de la réalité (place aux mégas structures)
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Gaufrette a écrit:
dgé a écrit:
Gaufrette a écrit:
Pour moi, le choix est entrain de se préciser. Quitte à ne rien gagner, autant ne rien faire !
c'est ce que je me suis dis il y a 5 ans
OK, mais tu as fait quoi il y a 5 ans ??
j'avais un troupeau de chevres depuis 5 ans, limitée à 720-730 litres, et je ne sortais pas un smic, environ 80 heures/semaine, 7j/7, donc dans l'optique dite plus haut, j'ai fais des ceréales, mais sans esperer gagner plus, et je me suis mis à l'interim, chauffeur routier
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Je ne suis pas encore dégouté,chez moi les cultures c'est pas la peine,les allaitantes c'est pire que le lait alors quoi faire. Comme achille mes prets en 2013 seront remboursés alors peut etre le lait sera remplaçé par des volailles label de loué,à voir..
Ce qui nous arrive en ce moment n'est rien à ce qui nous attend ,une grande partie n'en ont pas conscience,c'est la CONTRACTUALISATION et la fin pour nous.
Pas de prix mais des containtes plus importantes ( régularités des livraisons,obligation de faire sa référence meme si tu perds de l'argent,qualité du lait...)
A la fnpl,ils s'aperçoivent qu'ils sont cocus sur toute la ligne,c'est l'année dernière qu'il fallait réagir.
L'interprofession elle a servi à quoi? qualité du lait cellules -250 000,butyriques,lipolyse,germes 50 000. EN ALLEMAGNE -400 000 CELLULES,-100 000 GERMES,pas de butyriques!
La meilleure qualité aurait du etre rémunérée.
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Avons nous d'autre choix que de tout casser ??
y'en a marre de la parlotte : en face ce sont des sourds, voraces, incompétents, des pique-assiettes, ...à côté des moutons.
J'enrage quand je vois à la télé des éleveurs se plaindre de la hausse du prix des céréales !!!
Est-ce que le marchand de tracteur se plaint quand la ferraille augmente ??
Ils sont pitoyables ces pleurnichards !
Exigeons notre part : ni plus, ni moins.
Pourtant, déjà on annonce la hausse du prix des viandes (porcs, bovins, volailles), la hausse du prix du pain... Ceretains vont encore profiter de cette manne financière.
Mais quand est-ce que nous apprendrons à calculter nos prix de revient..? Si les céréales montent, alors nos produits d'élevage doivent monter : CQFD !
Dernière modification par Gaufrette (10/08/2010 10:56:42)
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le prix de la viande ne remontera pas du moins chez le producteur il n'a déjà pas augmenté à cette période de l'année alors que d'ordinaire il augmente parce qu'il y a de la demande pour reremplir les frigos des cantines . L'élevage est en train de vivre sa plus grande crise depuis la crise da la vache folle , la sécheresse venant se rajouter au reste .Perte sur la production laitière par manque d'herbe , décapitalisation avec perte de 30 % sur les ventes et des ventes annoncés au moins 15 jours à trois semaines avant de les voir partir .Tu compares ce qui n'est pas comparable les éleveurs avec le marchand le ferraille .Bien sur qu'il faut que le prix de nos produits remontent mais ils ne remonteront pas dans le contexte actuel .Ce matin j'entendais un éleveur de la brière dire combien la situation était difficile et très dure alors les éleveurs se font entendre comme ils peuvent même si c'est en critiquant le prix du blé puisqu'ils savent que leurs prix n'augmenteront pas d'en l'immédiat .
Tout casser c'est aussi tout perdre et celui qui aura tout perdu ne repartira pas par contre celui qui aura fait semblant de tout casser redémarra en flèche !
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mono44 a écrit:
Tout casser c'est aussi tout perdre et celui qui aura tout perdu ne repartira pas par contre celui qui aura fait semblant de tout casser redémarra en flèche !
Trés juste Mono 
certains feront et font déja ce pari, mais dans quel but ? : pour une nouvelle redéssante tout aussi vertinigineuse.
Et c'est qui les bananés dans l'histoire ?
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achille a écrit:
mes emprunts se finissent pratiquement tous en 2013
Le problème c'est qu'il y a pas mal de monde dans ce cas là; avec des batiments aux normes et pas tous remplis à 100%, c'est ce que j'ai aussi retenus d'une intervention du trés "orienté" Vincent Chatelier.
Et ça nos indus le savent, alors quoique vous choisisez, attention les collègues, il y aura surement d'autres essorages en vus.
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Voilà exactement Mono44 le genre de pleurnicheries qui ne font pas avancer le smilblick !!!
si nos prix de revient augmentent, ALORS nos prix de vente doivent augmenter... sinon, qu'est ce qui justifierait que les prix des viandes augmentent à la distribution ????
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titian a écrit:
achille a écrit:
mes emprunts se finissent pratiquement tous en 2013
Le problème c'est qu'il y a pas mal de monde dans ce cas là; avec des batiments aux normes et pas tous remplis à 100%, c'est ce que j'ai aussi retenus d'une intervention du trés "orienté" Vincent Chatelier.
Et ça nos indus le savent, alors quoique vous choisisez, attention les collègues, il y aura surement d'autres essorages en vus.
le très très orienté !! à la fois consultant pour le ministére et pour la FNSEA !! peu pas le voir en peinture celui là !!!!
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