Agriavis recueille l'avis des agriculteurs sur les matériels, semences et plants, engrais, produits phytosanitaires, services et produits pour les animaux qu'ils utilisent sur leur exploitation
Vous n'êtes pas identifié.
Discussion | Réponses | Dernier message | |
---|---|---|---|
Recherchez une plateforme de paris en ligne fiable et pratique ? par WalterChang
|
0 | 127 | Aujourd'hui 14:37:41 par WalterChang |
12 | 17538 | Aujourd'hui 12:37:56 par dirahot46911 | |
La vie quotidienne sur une ferme viking par orpailleur79
|
0 | 564 | 24/10/2024 11:44:38 par orpailleur79 |
Claas Lexion 540/ 540 C par redg49
|
1 | 2962 | 13/09/2024 10:59:14 par atvas |
Presse John Deere 580 par Antoine33910
|
2 | 2465 | 09/09/2024 00:51:17 par J-p75 |
Pages: 1
D’après les premières estimations de l’Agence BIO, 3 600 nouveaux producteurs se sont engagés dans l’agriculture biologique en 2009, soit 300 producteurs de plus en moyenne chaque mois.
En un an, le rythme d’engagement a plus que doublé. Le nombre de producteurs bio a donc augmenté de 23% en 2009 par rapport à 2008.
Au total, fin 2009, 16 400 producteurs cultivaient selon le mode de production biologique en France, alors qu’ils étaient 13 298 en 2008. Il s’agit de la plus forte progression constatée depuis 1995.
Au total, la France comptait 25 000 opérateurs (producteurs, transformateurs, distributeurs et importateurs) engagés en bio au 31/12/2009, soit 20% de plus que l’année précédente. Au total, 4 100 nouveaux opérateurs ont rejoint les acteurs bio en 2009.
Hors ligne
moi je me lance,juste apres Jean hi hi hi !!!
Hors ligne
au prix du conventionnel
je crois que ce n'est que le debut de la vague
Hors ligne
J'ai reçu ce communiqué de presse hier des producteurs de fruits et légumes bio...C'est peu encourageant!!!!
"Bientôt le Salon de l’Agriculture ouvre ses portes. Les organisations ci-dessous, par l’intermédiaire de leurs représentants respectifs, nous ont demandé de vous informer de la lettre ci-dessous adressée à :
Monsieur le ministre de l’Agriculture
Monsieur le Directeur général de France Agri Mer
Madame la Directrice de l’Agence Bio
Monsieur le Président de la FNAB
Monsieur le Président de l’APCA
Monsieur le Président d’INTERFEL
Monsieur le Président de la région Provence Alpes Côte D’azur
Monsieur le Président de la région Languedoc-Roussillon
Monsieur le Président de la région Rhône-Alpes
« En tant que producteurs de fruits et légumes biologiques, signataires de cette lettre, nous avons la volonté, aujourd’hui comme hier, de favoriser le développement de la production et de la consommation biologiques.
Cependant, nous estimons que la communication massive sur la croissance du marché et le déficit de production sont en décalage avec la réalité. Ces derniers mois, le marché bio connaît des situations de surproduction durables en fruits et légumes. Il semble que le marché biologique marque une pause alors que la montée en puissance de la restauration hors domicile se fait attendre, démontrant sa complexité.
L’importation ne vient pas combler le manque chronique de volumes qui devraient, dans ce cas, progressivement être remplacés par des productions françaises. Elle répond à une demande en produits exotiques, hors saison ou à bas prix que nous ne pouvons et ne voulons pas proposer aux consommateurs pour des raisons éthiques, techniques ou économiques.
C’est ainsi que l’été dernier, en pleine saison de production française, la majorité des fruits et légumes biologiques présents dans certaines enseignes de grande distribution étaient importés. Cet état de fait répond aux engagements pris par ces enseignes de fournir à leurs consommateurs des produits bio à bas prix. Le soin que nous apportons à nos cultures et notre volonté de pratiquer une agriculture durablement biologique ne nous permettent pas d’être compétitifs pour répondre à ces demandes.
Par ailleurs, en matière de politique de conversion, nous constatons l’insuffisance de l’accompagnement technique et de la formation, qui met les nouveaux producteurs dans une situation intenable. La transposition pure et simple du système agronomique conventionnel en bio n’est pas viable, encore moins durable ; la diversification des cultures fait partie intégrante du mode de culture biologique. Ignorer ces principes conduira l’agriculture biologique à l’échec.
Ces constats ne se retrouvent ni dans la communication institutionnelle, ni médiatique.
De son côté, le consommateur n’est pas en mesure de faire de vrais choix, son intérêt ne résidant pas dans un développement purement quantitatif, mais dans la participation active à une filière saine et cohérente ».
APFLBB, Bio Loire Océan, Mediterrabio, Solébio, Verte Provence"
Hors ligne
Pages: 1