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Pas compris !

Certe, mais y a-t-il une solution à tout cela ? La violence ce n'est plus que dans les grandes villes, elle arrive dans nos campagne.

nivelle a écrit:

La solution est UNIQUEMENT dans les mains des enseignants : enseigner ne nécessite pas obligatoirement un bac+ 5 mais juste de maitriser parfaitement le programme et de savoir le transmettre à une majorité ------------------et c'est jamais gagné

t'es pas serieux nivelle ? C'est pas les profs qui doivent éduquer les eleves !!!!!!!
J'ai eu des profs sans autorité et qui ne savaient pas enseigner , nous faisions le bordel en cours , mais cela ne durait jamais longtemps car nous savions qu'il y avait des limites .... que nous avions commencés à apprendre à la maison dés le plus jeune âge ...
Ce qui m'inquiète au plus au point , c'est que tous ces jeunes sont de futurs parents ...et la ça va être le drame
Les profs sont sans doute à l'origine du probléme avec la benediction des parents (interdit d'interdir comme tu as dit) , mais pour revenir sur de bonnes bases , le signal devra passer par les parents avec l'aide des enseignants .

C'est pourquoi , dans mon premier post , j'ai cité : les profs et les parents
Je ne voyais , dans ma réponse que l'augmentation du nombre de surveillants demandé par les syndicats qui ne servira qu'à maintenir le nombre
Un surveillant ( un pion) n'est d'aucun secours en cas de violence de ce style

On ne touche pas ----ou , avec des pincettes  : C /C d'un article du "bien public "les marcs d'or , c'est un lycée pro du batiment
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Nous sommes au lycée des Marcs-d’Or de Dijon en octobre dernier. Une petite manifestation est organisée dans le cadre d’une campagne de promotion de l’allemand. Des élèves témoignent de leur expérience et un professeur projette un petit film sur l’échange franco-allemand. Le sujet est monté par un proche de l’enseignante en question. C’est alors que le film à peine terminé, Florence Legros, recteur de l’Académie, s’exclame : « Il n’y a pas le logo de l’Académie ! ».

Avant de s’en prendre à l’enseignante. Le tout devant une quarantaine de personnes. L’histoire aurait pu s’arrêter là. On connaît l’importance attachée aux logos. Mais c’était sans compter sur Bernard Marchois. Fidèle lecteur de notre journal, prompt à dégainer sa plume quand il n’est pas d’accord avec l’un de nos articles, ce retraité de la banque ne manque jamais une occasion de défendre des convictions chevillées au corps. Apprenant ce qui vient de se passer, il ajuste, dans une missive, quelques salves à Mme le Recteur. En résumé, il écrit, «sous le coup de la chaleur » à Florence Legros la lettre suivante : « C’est déjà sous votre férule que l’instituteur Laligant a été mis à pied et n’est toujours pas réintégré (Ndlr : la lettre date de décembre, l’instituteur a, depuis, été réintégré). Est-ce, chez vous, une propension naturelle à la répression tous azimuts (…) Quoi qu’il en soit, devant des comportements aussi caricaturalement scandaleux, je ne puis que vous conseiller, soit d’envisager une thérapie zen, soit, en cas d’échec, de prendre la présidence d’une structure dans laquelle on peut donner libre cours à son inhumanité. Pourquoi pas France Telecom ? » Le ton n’a rien de chaleureux, loin s’en faut. Il est même acide, voire désagréable. Cette attaque scripturale aurait pu se terminer par une réponse toute aussi vindicative. Et bien non. C’était sans compter avec la loi.

Car Mme Le Recteur a déposé plainte pour outrage. « C’est un peu vif », reconnaît, aujourd’hui, Bernard Marchois qui a été entendu, hier, par un gendarme de la brigade d’Arc-sur-Tille. « Il n’y a ni insulte, ni intention d’insulter dans ce courrier mais le rappel d’un haut fonctionnaire à son devoir d’exemplarité. Si l’Etat et ses serviteurs ne donnent pas l’exemple, comment demander au reste de la population de la faire », note le retraité. L’affaire sera-t-elle classée ? Suite au prochain épisode.

Ma compagne a enseigné pendant un an :
Il y avait des cahiers  avec calque intégré qui permettaient au mauvais élèves (perturbateurs) d'avoir leurs cours recopiés par les bons élèves = résultat , les perturbateurs avaient encore plus le temps de faire le bordel
Elle avait voulu donner une punition collective car les élèves étaient insupportables et voulait se faire respecter des les premières heures ...= les élèves sont allés voir le directeur , celui-ci est revenu voir ma compagne en lui indiquant que la punition collective était interdite ....! C'est une drôle de manière de se sentir soutenu par la hiérarchie ! Une année lui a suffit ...
j'ai toujours pensé que la punition collective , certes pas justifiée pour ceux qui n'ont rien fait ,  avait l'avantage de créer un esprit de groupe dans la classe avec de l'auto discipline mutuelle .

une prof qui se faisait respecter n lui a dit qu'elle manquait d'empathie ........

Mes enfants ont horreur de travailler en groupe, et même en deuxième année de licence on leur demande encore.

Pour commencer prenons la base!!!

LA SOCIETE!!!!!!!!
Les médias, les ragots, internet, les jeux (dans la cour d'école ou vidéo).
La société entour les parents et les enfants. Les parents ont plein de contrainte, tu donnes une fessée à ton gosse dans un magasin (bien entendu il t'a fais une méga crise pour un tracteur miniature) et voilà que tu le maltraites.
Tu l'engueule très fort avec ta grosse voie, c'est de la violence psychologique.
Tu le punis devant tout le monde, tu passes pour le parent le plus égoïste!

LES PARENTS!!!!!!
Fais pas ci, fais pas ça! Fais ce que tu veux je m'en fou! Voilà ou en est.
Soit ils essaient de tenir soit ils laissent tomber. (voir Société....)
Il faut aussi prendre en compte l'éducation des adultes qui éduquent ainsi que l'environnement ou vit la famille.
Sans oublié l'enfant et son caractère.
Les parents ne savent pas forcément comment faire et n'osent pas demander de l'aide ou des conseilles, pour cela ils faut déjà que l'individualisme de notre société arrête d'avancer!

LES ECOLES!!!!!
Ce n'est pas au prof de prendre TOUTE l'éducation du gamin. Les parents doivent le faire dès le début. Les profs vont les guider dans la société, les aiguiller sur comment se tenir en collectivité et respecter l'autre qu'on ne connaît pas.
Mais ils sont surtout la pour faire respecter les règles d'une classe et donner leur cours.
N'oublions pas que les règles et les limites aident à apprendre tout au long de la vie, sans que celles-ci soient exagérées.

Pour finir le problème est général. Le mal-être est partout. L'ETAT nous entraîne ou bon lui semble. Dans ce cas je crois au NOUVEL ORDRE MONDIAL!!!! ça laisse réfléchir et à en voir ou nous en sommes.... Je ne trouve que cette réponse.

looool
Oui on est assé stricte la dessus, mais la protection de la jeunesse ne sert à rien, c'est juste les gens qui t'entourent qui peuvent te faire une remarque.

C'est vrai que dans la société actuelle le couple doit travailler, plus question que la femme reste au foyer, IL FAUT PAYER!!! Payer plus. Donc un foyer avec enfant pas possible de faire autrement. Alors on met les enfants en garderie, crèche, ect... Dans quelques années la société comprendra son erreur!!!