Agriavis recueille l'avis des agriculteurs sur les matériels, semences et plants, engrais, produits phytosanitaires, services et produits pour les animaux qu'ils utilisent sur leur exploitation
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La vie quotidienne sur une ferme viking par orpailleur79
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Agram Trailer 11T - 14T - 16T et 18T par FRANCK8210
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Claas Lexion 540/ 540 C par redg49
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Presse John Deere 580 par Antoine33910
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2 | 9053 | 09/09/2024 00:51:17 par J-p75 |
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Comme leurs voisins européens, les éleveurs suisses dénoncent le faible niveau des prix du lait. Mais la Suisse, contrairement à l'Union européenne, a déjà mis fin à son système de quotas fixés par l'État. Six mois après son abandon, les agriculteurs sont en proie à de graves difficultés financières. Le prix du lait est passé de près de 75 centimes de francs suisses (49 centimes d'euros) par litre à 55 cts de francs suisses (36 cts d'€) à cause des excédents de production.
« La crise financière a entraîné un effondrement de la demande mondiale qui pèse sur les prix. Ironie du sort, en même temps était mis fin au système de contingentement du lait », explique le chef de l'État en recommandant à la branche de s'organiser pour gérer la production.
Outre une revalorisation du prix du lait, les producteurs réclament la transparence sur les besoins de l'industrie et le contrôle par les paysans eux-mêmes des quantités de production nationale.
«Un pool laitier» de producteurs a été lancé fin 2008 pour permettre de gérer les quantités à produire en prévision de l'abandon du système des quotas. Mais les transformateurs ont refusé de négocier avec ce pool, préférant fixer les contrats directement avec les producteurs.
Pour autant, les paysans helvétiques ne souhaitent pas revenir au système de quotas fixés par l'État. Ils demandent au gouvernement d'octroyer un mandat officiel à une organisation d'éleveurs qui serait chargée de fixer les quantités à produire.
(lu sur Pleinchamp.com)
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Lait: le marché américain connaît lui aussi la crise, constate Bruno Le Maire dans le Maryland
Publié le lundi 12 octobre 2009 | 12h05
«Les marchés agricoles mondiaux ne sont pas assez régulés», a déclaré le ministre français de l'Agriculture Bruno Le Maire, après avoir entendu la complainte d'un producteur américain de lait, qui pâtit comme ses homologues européens de la baisse des cours.
Confronté en France au mécontentement des producteurs laitiers, Bruno Le Maire est venu se rendre compte vendredi dans le Maryland (est des Etats-Unis) de la situation de la filière de l'autre côté de l'Atlantique.
«Quand un gallon (3,78 litres) d'eau devient plus cher qu'un gallon de lait, c'est qu'il y a quelque chose qui ne tourne pas rond dans notre système», explique Chuck Fry, producteur laitier à Tuscarora (Maryland), à 80 km au nord-ouest de Washington.
En raison de la chute des prix du lait, ce responsable du syndicat agricole Farm Bureau dit avoir perdu 100.000 dollars de chiffre d'affaires depuis le début de l'année dans son exploitation de 170 vaches laitières.
«Je le reconnais, c'est absurde. Les marchés agricoles mondiaux ne sont pas assez régulés. C'est un problème mondial», lui a répondu le ministre, venu voir sur le terrain comment les Etats-Unis gèrent la fluctuation des prix agricoles et les excédents.
«Il faut arriver à stabiliser les prix et les revenus. Cela doit être un objectif mondial», a poursuivi le ministre, ajoutant retrouver avec «les préoccupations d'un fermier américain, les mêmes inquiétudes» que chez lui «en Normandie
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