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l'apli organise une pétition contre la contractualisation.
De toute façon l'état Français n'a pas le droit de mentionner la durée du contrat ( vu dans la revue de l'éleveur laitier) qui est de 5ans,les sanctions de l'europe vont leur tomber dessus.
J'ai assisté à des réunions et franchement il faut s'attendre à une baisse de prix après la contractualisation puisque les coop vont appliquer le double prix . Comment va coexister se système avec le prix unique des privés qui vont etes tentés de s'aligner sur les coop voire carrément d'appliquer ce double prix
ATTENTION ne nous laissons pas faire,après il sera trop tard ,les industriels auront les pleins pouvoirs en 2015
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http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet … 4_actu.Htm
On affiche clairement la couleur sur ce lien laissé par un collègue d'un autre forum.
Extrait :
""Le géant laitier dissuade les éleveurs de se rassembler en organisation de producteurs à vocation commerciale. « Si les producteurs décident de se constituer en GIE de collecte oucoopérative de vente de lait, il reviendra à cette organisation, en tant que premier acheteur de la matière première, de proposer les contrats aux producteurs, de prendre en charge la facturation du lait et de négocier le prix et les volumes avec les entreprises de transformation. Nous réfutons ce modèle. Nous voulons rester les premiers acheteurs », déclare Claude Trevillot, directeur de l'approvisionnement du groupe Lactalis. Si un tel cas de figure se présentait, le leader européen du fromage ne cache pas son intention de se montrer implacable dans les négociations commerciales et de fermer le robinet des achats de lait quand bon lui semblera.""
Dernière modification par titian (16/03/2011 10:31:34)
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titian a écrit:
http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-La-contractualisation-vue-par-Lactalis-_3640-1728434_actu.Htm
On affiche clairement la couleur sur ce lien laissé par un collègue d'un autre forum.
Extrait :
""Le géant laitier dissuade les éleveurs de se rassembler en organisation de producteurs à vocation commerciale. « Si les producteurs décident de se constituer en GIE de collecte oucoopérative de vente de lait, il reviendra à cette organisation, en tant que premier acheteur de la matière première, de proposer les contrats aux producteurs, de prendre en charge la facturation du lait et de négocier le prix et les volumes avec les entreprises de transformation. Nous réfutons ce modèle. Nous voulons rester les premiers acheteurs », déclare Claude Trevillot, directeur de l'approvisionnement du groupe Lactalis. Si un tel cas de figure se présentait, le leader européen du fromage ne cache pas son intention de se montrer implacable dans les négociations commerciales et de fermer le robinet des achats de lait quand bon lui semblera.""
Ca donne clairement une idée de leur projet de contractualisation ! Ils n'ont décidément pas l'intention de négocier avec un groupe de taille à discuter. Ils veulent des moutons... soumis à leur autorité !
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Les producteurs de lait tentent de s'organiser - Plouaret
dimanche 13 mars 2011
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La crise du lait des années 2008 et 2009 leur a montré que face aux laiteries, ils pouvaient faire entendre une autre voix.
L'Association des producteurs de lait indépendants (Apli) préconise aujourd'hui à travers l'Office du lait et l'organisation de producteurs France milk board une régulation au niveau européen. C'est ce message que des membres de l'Apli sont venus transmettre vendredi soir salle Norbert-Le-Jeune aux agriculteurs de la région.
Car même si le prix de la tonne de lait payée au producteur est passé de 215 € en 2008 à 315 € aujourd'hui, on est toujours loin du compte. « Et encore cela est dû aux incendies qu'a connus la Russie et à la sécheresse de Nouvelle-Zélande, fait remarquer Francis Prigent, producteur à Trégonneau et responsable local de l'Apli. En début d'année, on estimait que le point d'équilibre était entre 380 € et 390 € la tonne. » Sachant que depuis les prix des matières premières et de l'énergie se sont envolés.
Pour lui et ceux qui, de plus en plus nombreux, rejoignent le mouvement, la solution passe par une démarche conjointe de tous les producteurs européens. Une régulation qui permettrait de ne pas faire jouer un pays contre l'autre et en finir avec une surproduction défavorable à tous.
« Ce que l'on veut, c'est une juste répartition. Pour que l'on puisse vivre en produisant un produit noble, de bonne qualité et à un prix abordable. »
En attendant, court-circuitant le syndicalisme agricole classique, les membres de l'Apli militent pour que les producteurs disent non à la contractualisation qui leur est proposée actuellement par les coopératives et les grands groupes laitiers. « Car telle qu'elle nous est imposée aujourd'hui, ce n'est pas un outil de régulation mais un asservissement aux transformateurs. »
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Leclerc et Lactalis se font la guerre du prix du lait
10/03/2011 05:40
Depuis une semaine, les produits laitiers du groupe Lactalis ont disparu des rayons des centres Leclerc. Les éleveurs observent la bataille commerciale.
Une affiche explique la position de Leclerc. - (dr) Ne cherchez pas le camembert Président, le roquefort Société ou la mozzarella Galbani dans les rayons des centres Leclerc. Depuis une semaine, les produits du groupe Lactalis (1) n'y figurent plus. « Cette décision concerne tous les magasins en France », indique le service de presse national de Leclerc. C'est la conséquence des négociations de prix qui se passent mal entre les deux entreprises.
Certains magasins ont apposé des d'affiches dans le rayon BOF (beurre, oeufs, fromage) sur lesquelles les consommateurs peuvent lire la position officielle de l'enseigne, expliquant que « la flambée des cours a largement été exploitée par certaines multinationales qui n'hésitent pas à demander des augmentations deux fois supérieures à l'impact réel des matières premières sur leur coût de production ». Selon Leclerc, Lactalis a fait grimper les enchères « avec des augmentations deux à trois fois supérieures à celles de leurs concurrents directs ». Drapée dans son costume de défenseur du pouvoir d'achat, l'enseigne refuse d'être « complice d'augmentations abusives ».
'' On s'oriente vers une bataille producteurs/ GMS ''
Du côté des syndicats agricoles, on observe avec intérêt la bataille entre les deux géants. Dans les Deux-Sèvres, environ quatre-vingt-dix producteurs sont liés à Lactalis. « Nous rencontrons au niveau de la région les mêmes problèmes pour certaines coopératives confrontées à des enseignes qui refusent de répercuter l'augmentation permettant d'assurer un prix décent aux agriculteurs, souligne Christophe Limoges, responsable de la section lait à la FDSEA79. Il y a un bras de fer qui s'est installé entre les transformateurs et les GMS (N.D.L.R. : grandes et moyennes surfaces). Nous réfléchissons à la manière d'accompagner ce mouvement, on s'oriente vers une bataille producteurs/GMS », prévient le syndicaliste qui ajoute : « Prenez un pays comme l'Allemagne, les GMS sont beaucoup plus réactives par rapport aux cours des produits laitiers. Ici, cela prend des mois. Mais quand il s'agit de baisser, elles sont réactives ! La problématique est identique pour la viande. » Le prix du lait a effectivement augmenté depuis quelques semaines, 317 € la tonne, selon le Centre régional interprofessionnel de l'économie laitière (Criel).
(1) Lactalis est le 3e groupe laitier mondial et emploie 36.500 salariés. Contactée à plusieurs reprises hier, l'entreprise n'a pas donné suite à notre proposition d'exprimer son point de vue.
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Effectivement, même si je n'ai aucune affinité avec MEL, on est en droit de se demander pourquoi Lactalis passerait des hausses de prix quand le prix du lait reste aussi bas pour les producteurs qui voient leur revenu fondre depuis 2008.
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Ceux là aussi manquent pas d'air, ça joue maintenant les vierges efarouchés, alors qu'ils ont déja acté le principe en baissant pantalon.
http://www.agriavis.com/news-4030-la+fn … ncies.html
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Je suis pas laitier, mais on est tous dans le même bateau, au moins les éleveurs allaitants dont la viande fini en grande majorité en GMS.
Je sais pas ce que vous en pensez vous, mais le problème de fond ne réside-t-il pas dans les fondamentaux européens, qui font de la "concurence libre et non faussée" le premier des dix commandements, gravé dans le marbre pour l'éternité...
Tant que les gros opérateurs, industriels ou distribution, pourront se retrancher derrière cette loi "universelle" qui prime sur le droit national, tant qu'on ne sera pas capable d'instaurer une politique agricole européenne intelligement régulatrice, ils seront toujours du coté du manche!! 
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paysan03 a écrit:
Je suis pas laitier, mais on est tous dans le même bateau, au moins les éleveurs allaitants dont la viande fini en grande majorité en GMS.
Je sais pas ce que vous en pensez vous, mais le problème de fond ne réside-t-il pas dans les fondamentaux européens, qui font de la "concurence libre et non faussée" le premier des dix commandements, gravé dans le marbre pour l'éternité...
Tant que les gros opérateurs, industriels ou distribution, pourront se retrancher derrière cette loi "universelle" qui prime sur le droit national, tant qu'on ne sera pas capable d'instaurer une politique agricole européenne intelligement régulatrice, ils seront toujours du coté du manche!!
Et c'est bien pour ça qu'il sont incapables d'instaurer une politique agricole intelligente... leurs "amis" auraient tellement à perdre !
Oui Titian, j'ai aussi vu ce communiqué de la FNPL ! Honte à eux qui ont mis en route cette machine à broyer du paysan qu'ils n'arrivent plus à arrêter ! Fallait vraiment qu'ils soient c... pour soutenir la contractualisation. Malheureusement, ce sont nous, les pauvres bougres, qui allons en payer les frais !
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Et oui Gauffrette ,ils ont voulu à tout prix la contactualisation quels naifs,ils croient encore que les industriels sont des partenaires. Nous avons des représentants fnpl qui sont admnistrateurs de coop,ils défendent la coop ou les éleveurs.
A la fnpl ils devraient etre payés suivant le prix du lait,ils se bougeraient plus pour nous défendre.
Le lobby des coop est très puissant auprès de l'état et de l'europe,ils peuvent se regrouper contrairement aux éleveurs.
Et si on faisait la grève des signatures,ils ne peuvent rien,la fin des quotas c'est 2015;
On copie exactement le modèle suisse,préparez vous à la dégringolade du prix du lait.
De volume pour faire de la poudre et un prix au ras des paqueretteS;
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Reçu le recommandé de cette fameuse contractualisation ,j'ai lu les clauses ;
Pour résumer beaucoup d'obligations pour le producteurs ( des nouvelles exigences sont ajoutées) et pour le producteur 1 obligation de collecter.
Et le plus fort dans tout ça c'est approuvé par les représentants des producteurs dans l'OP¨;
Ces op ne servent à rien ,à part apporter quelques petites modifications des clauses que la laiterie à proposé.
Lisez bien les clauses,certaines exigences ( qualité,sécurité...) non respectés entrainent des arrets de collecte.
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Ah j'oubliais la pression des transformateurs pour faire signer;
date limite pour signer ;30 septembre
pas de compléments de prix pour le lait d'été versé en cas de non signature
arret de collecte ( illégale)
Ne vous laissez pas faire,les industriels ne sont rien sans nous!
La liberté ça n'a pas de prix!!
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steph72 a écrit:
Ne vous laissez pas faire,les industriels ne sont rien sans nous!
La liberté ça n'a pas de prix!!
C'est ça le maitre mot : LES INDUSTRIELS NE SONT RIEN SANS NOUS !!!! R I E N !!!!
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Le dernier JT de l'APLI :
http://fr.justin.tv/fairmilktv_fr/b/282586979
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Ca fait du bien d'avoir quelques nouvelles de l'Apli.
Massol se pose des questions sur les stocks de poudre de lait ? Il n'y en a pas.
J'ai une amie qui travaille chez un fournisseur de matières premières pour l'industrie. Il se fournissait essentiellement chez Lactalis. Aujourd'hui, il n'arrive pas à avoir de poudre et les prix n'arrêtent pas de monter !!
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Je pense depuis longtemps qu'un jour on paiera la disparition des élevages qui auront mis la clé sous la porte .
Effectivement aujourd'hui le lait ou la viande il est possible d'aller chercher ailleurs mais est ce que ça sera toujours le cas, ???
S'en remettre au pays d'à coté pour se fournir en matière première est bien risqué et nos chers industriel pourrait le regretter ( quoique ça sera répercuté sur le consommateur )
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En Angleterre ils ne sont pas autosuffisants alors qu'ils ont un pays avec un potentiel pour produire.
Eh bien le pays s'appauvrit,la France fait pareil a force de dégouter les éleveurs il n'en restera plus. Au lieu de copier le modèle Allemand on copie le modèle Anglais...
Les industriels sont dans leur bulle,elle va bientot exploser.
Pour rappel une bonne partie des éleveurs à plus de 50 ans .
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Fly49 a écrit:
Je pense depuis longtemps qu'un jour on paiera la disparition des élevages qui auront mis la clé sous la porte .
Effectivement aujourd'hui le lait ou la viande il est possible d'aller chercher ailleurs mais est ce que ça sera toujours le cas, ???
S'en remettre au pays d'à coté pour se fournir en matière première est bien risqué et nos chers industriel pourrait le regretter ( quoique ça sera répercuté sur le consommateur )
Aller chercher ailleurs ???? Quoi ?? Encore faudrait il qu'il y ait du disponible et ce n'est pas le cas !
On nous fait avaler des couleuvres... Les produits manquent mais ils ne veulent pas payer et utilisent un argumentaire mensonger. Pourtant, quand on veut, c'est si facile à vérifer.
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Allez sur le blog de l'apli,perrine a réagit .
En 2010 les patrons de laiteries ( besnier,bongrain,bel) ont augmenté leur fortunes personnelles et ça représente plus de 8000 E par exploitation . Ils s'engraissent bien sur notre dos.
Ne signez pas
Adhérez à l'office du lait
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Je suis allée voir sur le site de l'Apli ! C'est scandaleux ...
voici le texte :
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Crise de 2010.
Amis paysans, nos productions sont en crise ! Toute l’économie végète.
Le prix du lait s’effondre, la faute aux méchants Allemands… !
Pourtant, dans cette période calamiteuse, certains dans l’hexagone semblent mieux s’en sortir.
Le site économique Challenges.fr,
http://www.challenges.fr/classements/fo … amp;s=asc, nous liste ces excellents élèves.
Ainsi, on peut lire que le « meilleur d’entre eux», c’est Bernard ARNAULT, patron de LVMH, qui a vu sa fortune personnelle croitre de 56.06% en 2010, année de disette pour bon nombre d’entre nous !
56.06% d’augmentation de sa fortune personnelle, c’est 8.176.000.000,00 € perçus en 2010 ! Incroyable ! Inimaginable ! Impensable !
Mais, 8.176.000.000,00 euros, concrètement, ça représente quoi ? (Vous, j’sais pas, mais moi, j’ai du mal…)
* 322.799.097 heures de smic à 8.86 €/heure (Smic 2010)
* 8.176.000 smic à 1.000 euros
* 681.333 années de smic (8.176.000/12 mois)
* 16.222 vies de labeurs (681.333/42années) ! Vous lisez bien : ce monsieur a empoché en 1 année (de crise), l’équivalent des vies de travail (42 années) de 16.222 travailleurs payés 1.000 euros par mois !
Incroyable ??? Impensable ??? Non, moi je pense : Indécent, Injuste, Irresponsable…
Alors, la curiosité me pousse à regarder de plus près la place de nos « alliés » privés de la filière LAIT :
Emmanuel BESNIER, groupe Lactalis +13.64% + 300 000 000 euros
Antoine Fiévet et familles Bel, Fromageries BEL +58.69% + 249 000 000 euros
Alex BONGRAIN, groupe BONGRAIN + 39.19% + 172 000 000 euros
Marc SENOBLE, groupe SENOBLE + 50.00% + 100 000 000 euros
Soit une augmentation de leurs patrimoines pour l’année 2010 de 821 000 000 €
Je reprends ma calculette :
78 000 exploitations laitières en 2010.
Ces 4 industriels (qui ne sont pas des distributeurs) se sont gavés (à titre personnel, je n’évoque pas les résultats des entreprises) de 821 millions d’euros en 2010, ce qui représente 10 525 euros par exploitation (de quoi mettre un peu de beurre dans certains épinards).
Et encore, ce calcul est totalement sous-estimé puisqu’il intègre tous les producteurs mais pas tous les industriels (privés et coopératives).
Je voudrais donc qu’on discute avec ces messieurs, de la contractualisation qu’ils veulent nous imposer ( vous savez, le système qu’ils ont imaginé pour nous dépouiller « légalement » puisque nous aurions donné notre accord ! ).
Car il serait juste que, plutôt que d’indexer le cours du lait sur un « sous-produit » tel que le lait poudre, il soit indexé sur les « super-produits » qu’eux en tirent !!
Ainsi, étant donné que leurs fortunes personnelles étaient valorisées à 3.280.000.000 euros en 2009, qu’elles ont enflé de 821.000.000 euros en 2010, soit une hausse de 25% sur un an, nous revendiquons une revalorisation de notre produit « LAIT » d’autant « à minima » !
325 € /1000 litres x 1.25 = 400 €/1000 litres. Tiens, tiens, 400 € (un vague souvenir…) ???!!
Exigeons notre revenu, celui qui nous est dû, celui que l’on nous vole, celui de notre travail, de nos investissements, des risques que nous prenons chaque jour pour gaver des parasites !
Et que nos collègues porchers, volaillers, producteurs de viande bovine, légumiers, céréaliers, maraichers, fruitiers, etc…, ne se bercent pas d’illusions – Le mal qui les ronge est le même que le notre.
Allez sur le site de Challenges. Les chiffres sont tous exorbitants, édifiants et justifient à eux seuls une grande révolte paysanne.
Perrine
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un pti tour dans la manche et s en va:signer les mains liees
et voilou! mais qui signerait un contrat d embauche sans connaitre son salaire a la fin du mois!!!!!
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Allez dans le site la france agricole ,il y a un article sur la comparaison des contrats dans l'actualité.
Bravo la fnpl vous défendez bien les éleveurs,les laiteries exigent de signer avant 6 mois,avant la constitution des op. Ca m'étonnerait que les groupements de producteurs arrivent à négocier les contrats quand on voit que des responsables de groupements ont approuvé le contrat!!!
On va dans le mur!!
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On va pas dans le mur Steph, on y est 
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reste plus qu'a l'escalader ce mur, et là, ça ne va pas être simple
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non ,on sera dans les fondations , 6 pieds sous terre !!!!
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