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Je maintiens tout ce que j'ai écrit. Je n'ai pas fonctionné par ouï-dire ni ragots, j'ai fait établir des devis sérieux par trois entreprises différentes qui ont déjà réalisé des projets professionnels dans ma région. Toutes les trois ont trouvé à peu près les mêmes prix.
Mon contradicteur ''Petit chat 29'', c'est plutôt lui qui semble ne pas connaître son affaire, car une installation de 36 kW fait changer de catégorie et moins rentable qu'une de moins de 30 kW. En effet, à 36 kW, on a changé de catégorie, les frais fixes fiscaux et sociaux sont bien plus importants et le surplus (non garanti) de production est entièrement mangé par cette augmentation massive des frais fixes.
Je n'ai pas besoin d'être grossier pour répondre à la question de diminution progressive de la capacité de production. Je maintiens que cette diminution est au minimum de 5 pour cent par an de la capacité de production résiduelle, ce qui fait environ 36% de la capacité initiale au bout de vingt ans.
Si vous maintenez, Petit chat 29, ce que vous avez écrit, c'est très simple : donnez-nous ici des coordonnées valables d'une ou plusieurs ''boîtes'' (comme vous dites élégamment) qui donnent à leurs clients une garantie effective de 80% de la capacité initiale de production au bout de vingt ans, de façon qu'on puisse vérifier ce que vaut concrètement cette garantie.
Et surtout, expliquez-nous comment se continue cette garantie au cas où la ''boîte'' en question dépose le bilan dans les cinq ou sept ans.
Mes lecteurs sont libres de croire ce qu'ils veulent, je ne roule pour personne. Au contraire, au départ, j'ai voulu me renseigner pour moi-même, j'ai fait venir plusieurs entreprises d'installation chez moi, fait faire des études et des devis sérieux, avec prospective financière sur vingt ans, j'ai ensuite rémunéré un spécialiste du solaire de mon centre de gestion rurale (qui m'a fait payer 100 euros HT sa prestation) qui a épluché ces devis devant moi pendant 90 minutes et m'a averti des embûches et des risques cachés. Il a d'ailleurs estimé les prix corrects, mais sur la garantie, il m'a affirmé que la plupart des installateurs ne garantissent POUR DE BON que cinq ans, qu'aucune garantie ne couvre la capacité de production (seulement le bon fonctionnement des panneaux sous réserve de leur bon entretien, qui doit pouvoir être prouvé), et que certaines entreprises, rares, offrent une garantie partielle sur dix ans (mais pas celle de la capacité de production), après quoi il m'a refait ses calculs à lui, qui revoyaient nettement à la baisse les bénéfices de l'opération.
Avec toute cette doc, j'ai réfléchi longuement. Entre temps j'ai contacté un ex-ambulancier qui s'est reconverti dans l'installation de PV tellement cette activité est juteuse. C'est lui qui m'a expliqué que les PV arrivent de Chine à 10 euros le m2 en moyenne, alors qu'ils sont revendus INSTALLES dans une microcentrale à 800 euros le m2 minimum.
Si certains veulent des précisions sur ce blog, qu'ils me contactent en demandant au webmestre comment s'y prendre pour que je lui donne mon adresse mail sans déroger à l'anonymat de mise sur ce forum. Je correspondrai avec eux avec le plus grands plaisir.
Salut à tous,
Rural Fier de Lettres
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pitivier a écrit:
bjr , les agriculteurs qui font des hangars gratuits , qu en pensez vous ? y a t il un un risques pour leur avenir ?
perso , j ai demander pour faire un hangar gratuit ,
a ma charge :
terrassement + eau + elec + amenagement int si je veut faire de l elevage
ils prennent en charge : des fondations jusqua la fermeture du hangar des 4 cotés + récup des eau pluviales pour nettoyage des panneaux + assurance du hangar avec le contenu ( cad , prise en charge si stokage fourrage , animaux , materiels , etc ..)
en contre parti ils exploitent entierement les panneaux solaire
y a til anguille sous roche ?
je trouve interessant car je n ai pas de hangar pour pouvoir travailler confortablement , et dans de bonne conditions .....
mais je m interroge quand meme .....qu en pensez vous ? et quels sont vos reactions ?
Ce que j'ai à répondre n'est pas du tout une ''réaction''.
J'ai aussi étudié la question des hangars gratuits pour moi-même..
Voici la réalité de cette ''gratuité'' :
1) terrassement à la charge de l'agriculteur bénéficiaire du hangar ''gratuit''.
2) Voierie éventuellement nécdessaire à la charge de l'agriculteur.
3) raccordement en alimentation en eau ET EN ELECTRICITE entièrement à la charge de l'agriculteur.
4) interdiction de faire de l'élevage, quel qu'il soit, dans ce hangar ''gratuit''. Motif : les émanations organiques produites par un élevage quel qu'il soit peuvent à la longue endommager les panneaux.
Pour la même raison, impossible d'entreposer dans le hangar des matières organiques, comme par exemple silos de céréales (on sait que les poussières de ces silos peuvent devenir dangereuses et provoquer des explosions), encore moins des engrais minéraux ou organiques comme de l'urée, etc. Surtout pas de foin non plus (même raison que els céréales). Et ne parlons pas des ensilages !
Donc tout ce que vous pouvez mettre dans ce hangar c'est tracteurs, charriues, pelles rétro, rotavators, gyrobroyeurs, semoirs vides etc etc. Pas de stockage de fuel no plus, bien sûr. Pas la peine d'aliéner 600 m2 pendant vingt ans pour ça !
De plus quand les panneaux seront usés (au bout de 20 ans dans le meilleur des cas), il faudra refaire le toit à vos frais, car je rappelle qu'un toit photovoltaïque, pour être éligible à des prix de revente d'électricité intéressants (provisoirement....), doit pêtre intégré, c'est-à-dire qu'il n'y a RIEN sous els panneaux; Quand vous les ôtes, il faut refaire un toit à votre hangar ''gratuit''.
Maintenant, chacun est libre de s'en laisser construire un....
Cordialement à tous,
Rural fier de Lettres
Conclusion : aucun intérêt.
Donc la seule utilisation du hangar possible est l'entrepôt de matériels divers.
Or si c'est pour entreposer du matos, n'importe quel agriculteur pas trop maladroit peut se construire de ses mains un hangar largement suffisant à prix très réduit.
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Je me permet de poser une question a ceux qui ont installé des pv concernant les assurances , comment ça se passe en cas de sinistre quelles sont les risques et dommages pris en charge ( panneaux eux mêmes et contenu du bâtiment) , y a t'il des choses "interdite" de stockage dans un bâtiment pv et surtout le montant des primes d'assurances ?
J'ai également entendu dire par un voisin qui a un projet que les pompiers n'intervenaient pas en cas d'incendie sur le hangars ?
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Je le répète, l'automne 2009, j'ai fait étudier par un conseiller de mon centre de gestion rurale CER France des projets très détaillés d'équipement photovoltaïque de mon hangar de 400 m2 au sol. Cette étude a été faite pendant 90 minutes en ma présence et m'a été facturée 100 euros (je faxe cette facture à qui me la demande).
Le conseiller a particulièrement insisté sur la question de l'assurance, qui est toujours minimisée et évoquée bien trop discrètement par les démarcheurs. Il faut au minimum déclarer l'équipement photovoltaïque à son assurance multirisque-bâtiments (le hangar que vous équipez est déjà assuré). Cela donnera lieu dans le meilleur des cas à une augmentation de la cotisation, et sinon, à la rédaction d'un contrat nouveau séparé ne couvrant que l'installation photovoltaïque. Dans tous les cas, le surcoût ne sera pas anecdotique.
Le problème de l'intervention des pompiers sous un hangar équipé est en effet complexe. Ils interviendront, mais il faudra
préalablement isoler du secteur l'installation électrique des panneaux producteurs d'électricité. De plus il faudra s'assurer que rien d'inflammable n'est stpcké dans le hangar. Je me répète : les poussières de silos à grains sont sensibles aux grands feux, elles peuvent déflagrer. Idem pour le foin; Si un incendie se déclare alors que de tels produits étaient stockés sous le hangar, attendez-vous à un refus de l'assurance d'indemniser le sinistre. Je rappelle que les panneaux intégrés nécessitent la dépose de la toiture existante, donc toute poussière ou émanation due aux stockages sous un tel hangar affectent directement les panneaux solaires et l'installation électrique pv.
Bien cordialement,
Rural fier de Lettres
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Je suis (modeste) administrateur de ma caisse locale chez cerise ,Il se trouve que pur hasard hier soir à l'agence j'ai croisé le responsable départemental de la prévention des risques .
Électricien de métier a l'origine il était l'homme de la situation car il intervient sur ce sujet voici grosso modo ce qu'il en est ressorti .
Pour les installations (d'autant plus si elle sont d'importance) il est primordial de faire venir une personne comme lui afin d'établir un dossier complet avec prise en compte des risques . à ce sujet il nous a avoué qu'il était parfois bien difficile de faire la "visite' complète car bcp d'éléments sont cachés cloisons plafonds .
Grosse interrogation sur le viellissement des organes sous tension électrique sous toiture au bout de 20 ans (surtout dans des conditions de chaleur comme actuellement) .
Il parlait de 600 volts qui arrivent sur les onduleurs je ne sais pas si quelqu'un peut confirmer ?
En ce qui concerne les pompiers il faut pouvoir mettre hors tension pour intervenir ( comment faire quand ça flambe ?? )
Nous avons aussi évoqué les interrogations sur le contenu du bâtiment ( fourrage , stock d'engrais , hydrocarbures )pas trop de réponses globale mais plutôt du cas par cas , tout ceci est a étudier dans le contrat .
en résumé pour celui qui à un projet il est impératif de réaliser un cahier des charges très précis avec son assureur avant d'investir .
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j'ai un voisin qui vient de faire couvrir son bâtiment de stockage de céréales à plat ... donc ?
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Bonjour, je suis installateur solaire photovoltaique et je vais tenter de repondre à vos intérogations. Vous pouvez faire poser des panneaux solaires sur vos toitures sauf au dessus d'elevage de porcs c'est la seule contre indication. Le matériel est garanti en général 5 ans mais le rendement des panneaux est garanti 90% de la puissance minimale sur 10 ans et 80% de la puissance minimale sur 25 ans. Ces garanties sont données par le constructeur de panneaux, l'installateur dépose le bilan demain vous serez couvert par les marques. Mieux vaut choisir de grandes marques.Ces grandes marques s'engagent à avoir un stock tampon durant 20 ans. Le tarif de rachat de l'electricité produite est indéxé sur le cout du travail chaque année. Si vous avez les moyens et un "bon banquier" je vous conseille d'investir dans une installation qui devra etre amortie avant 10 ans. Le tarif de rachat a baissé cette année mais les prix des panneaux ont également baissé sa reste une bonne opération financière. Les Allemands ont 20 ans d'avance sur nous, ils ont mis en place une filière de traitement des panneaux en fin de vie, la France suivra dans les années à venir. Pour votre information les cellules photovotaiques sont faites de silicium (du sable) il n'y a rien de toxique dans un module. C'est un sujet vaste et complexe, choisissez des panneaux Allemands ou Japonais avec un installateur intègre, plusieurs devis. A +
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peut on avoir une idée du prix d'achat du panneau par l'installateur ? car je me demande si ce n'est pas ça la variable d'ajustement du rapport prix du panneau/ prix de rachat de l'electricité .
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Le fabricant fixe les prix et sont négociables en fonction de la surface à couvrir. Nous n'intégrons pas le prix de revente de l'electricité dans nos devis. Nous facturons une prestation technique avec des produits performants. Nos marges nous permettent d'investir dans du matériel, de recruter et payer nos impots.
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merci PASCAL 69, tu fais bien d'intervenir car je me poser des questions, d'autant plus que l'année dernière, j'étais partant pour un projet important.
lorsque je me suis aperçu que l'interlocuteur que j'avais en face de moi n'était pas très fiable, j'ai tout laissé tomber!
aujourd'hui, les tarifs ont changé mais peut-être pas tant que ça pour moi puisque mes batiments sont totalement clos; le seul bémol,c'est que mes toitures sont à 26°!
peux-tu, stp, m'en dire un peu plus? merci
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d'après toi, pourrai-je espérer un bon rendement en % vu l'inclinaison?
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Fly49 a écrit:
peut on avoir une idée du prix d'achat du panneau par l'installateur ? car je me demande si ce n'est pas ça la variable d'ajustement du rapport prix du panneau/ prix de rachat de l'electricité .
Fly en début d"année , le prix au watt crête du panneau était de 1 € 70 pour le chinois et 2€20 pour de l'allemand !
Je viens de mettre en route mon instale depuis 4 jours et déjà 750 kwh de produits , avec un 36 kw
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Rural fier de Lettres a écrit:
Je me suis inscrit pour mettre en garde le monde agricole contre l'arnaque photovoltaïque.
1) Arnaque financière :
EDF ne promet aucun système clair et sérieux d'indexation des prix de rachat. Or, supposons que l'électricité augmente de 5 pour cent par an sur 15 ans et que EDF se débrouille pour ne pas faire suivre les prix de rachat (il y a plein de méthodes légales pour cela, en faisant porter l'indexation beaucoup sur des paramètres qui n'augmentent pas et peu sur ceux qui augmentent).
Investissons 150000 euros pour une installation qui produira au mieux 25 000 kWh par an, à 57 ct le kWh. Au bout de quinze ans, le capital investi sera perdu : c'est ce que tout le monde oublie ! on investit à capital perdu, car les panneaux meurent en 15 à 20 ans grand maximum et au bout de quinze ans, ils ont perdu plus de la moitié de leur capacité de production.
Supposons avoir emprunté les 150 000 euros à 4 pour cent l'an en prêt amortissable à annuités constantes et non révisables. Les annuités de seront 13500 euros l'an.
L'entretien de vos panneaux coûtera au minimum 1500 euros l'an (nettoyage et révision des panneaux). Ce prix suivra l'érosion monétaire.
Voici quelle sera, simplifiée, la comptabilité en euros sur quinze ans (je ne compte pas les charges fixes de la société qu'il faudra monter, qui, même déficitaire, devra les assumer) :
PASSIF MINIMUM :
Entretien : 1500 x (1+1,04+1,04^2+....+1,04^(14))=30000
Remboursements : 13500 x 15=202500
Soit un passif de 232500 euros.
Recettes la première année de production : R=25000 x 0,57=14250.
La seconde année, les 25000 kWh ne seront plus que 25000 x 0,95, car les panneaux perdent chaque année 5 pour cent de leur capacité de production résiduelle (c'est pourquoi ils ne produisent plus que même pas la moitié de leur production initiale au bout de 15 ans).
ACTIF MAXIMUM :
Recette sur les quinze ans : R x (1+0,95+0,95^2+....+0,95^(14))=R x 10,74=152962 euros.
Valeur résiduelle de l'installation au bout des quinze ans : les installations fixes non photovoltaïques plus une fraction de l'investissement initial. Cette fraction peut être évaluée facilement : les panneaux n'auront plus que cinq ans à vivre et leur production restante sera R'=R x 0,95^(15)=9880 kWh=6602 euros la seizième année, donc en tout sur les cinq ans restants :
R' x (1+0,95+0,95^2+0,95^3+0,95^4)=R' x 4,53=29870 euros, alors que la production antérieure a été 268355 kWh, de valeur 152962 euros. Donc le reste à gagner de l'installation sera (29870 divisé par (152962+29870)) fois le prix de l'installation neuve, c'est-à-dire 16,33 pour cent des 150000 euros investis, c'est-à-dire tout au plus 25 000 euros non réévalués en fonction de l'érosion monétaire puisque le prix de rachat du kWh n'aura pas été correctement indexé.
Donc le total minimum de l'actif au bout des quinze ans est au grand maximum 152962+25000=177962 euros.
Bilan global nominal au bout des quinze ans, en euros : PERTE, égale à Passif moins Actif, donc égale à 54538 euros.
MORALITE 1 : avec emprunt initial total, au bout de 15 ans, on perd 54 538 euros nominaux
Si on suppose avoir investi les 150 000 euros de départ sans emprunt, la en négligeant les impôts et charges autres que l'entretien, la comptabilité se modifie comme suit :
PASSIF : 150000 de capital investi
30000 d'entretien. Total 180 000
ACTIF : 177962.
Bilan : perte, égale à 180 000-177962=2038 euros. Mais il faut rajouter à la perte les intérêts qu'on n'a pas gagnés sur les 150 000 s'ils avaient été placés, disons à 3 pour cent l'an sur quinze ans : ils seraient devenus 150 000 x 1,03^(15)=233695 euros. Donc la vraie perte nominale est (233695+30000)-177962=85733 euros, encore pire qu'avec l'emprunt.
MORALITE 2 : si on paye l'installation cash au départ, au bout de quinze ans, on perd nominalement 85733 euros
Si au lieu d'avoir sauvé la planète on avait placé les 150 000 euros sur 15 ans à 3 pour cent l'an, au bout des quinze ans, sans rien faire, on aurait retrouvé 233695 euros. La différence avec le bilan de l'affaire du siècle photovoltaïque est une Bérézina financière, puisque si on a mis les 150000 euros cash au départ, on perd 85 733 euros et sinon, on perd 54538 euros.
MORALITE 3 : dans tous les cas de figure, au bout de 15 ans, on se trouve devant un désastre financier.
2) Arnaque écologique :
Les panneaux, au bout de 20 ans, sont bons à jeter. Il faut les démanteler et les envoyer quelque part (où ?), ce qui a un coût non négligeable. Cette charge donne au bout des 20 ans une valeur vénale de l'installation négative. Savez-vous que si on intègre les panneaux dans la toiture, il faut détruire la partie de toiture au-dessous d'eux , alors au démantèlement, on fait quoi avec le toit ? c'est gratuit, une toiture ?
3) Arnaque commerciale :
les panneaux sont fabriqués en Chine, et ils arrivent chez les revendeurs à moins de 150 euros le m2 chacun, souvent bien moins. Pour les installations sur les hangars des agriculteurs, ils sont revendue en moyenne 800 euros le m2 installé.
Ce qui explique la frénésie et l'enthousiasme écologique fervent des réchauffeurs de planète professionnels.
MORALITE DES MORALITES :
La seule énergie renouvelable valable est celle qui permet une autonomie énergétique personnelle. Un agriculteur moyen consomme plus de 20 000 kWh par an, souvent bien plus. Les factures d'énergie électrique sont de plus en plus pesantes, même avec l'EJP, qu'EDF fera tout pour faire disparaître le plus vite possible.
L'autonomie énergétique idéale est donnée par l'hydroélectricité quand elle est possible. Quand on dispose d'un droit d'eau qui permet une puissance installée suoérieure à 50 kW, des solutions techniques existent pour se rendre largement autonome en électricité. Mais il faut savoir que l'administration met tous les bâtons dans les roues possibles et imaginables : quand on veut se construire sa petite centrale hydroélectrique, les obstacles surviennent de partout. On se fait des tas d'ennemis qu'on ne se connaissait pas, par exemple chez les pêcheurs, chez les randonneurs, chez les jaloux, etc. L'administration et EDF vous pondent des milliers de pages de formulaires à remplir, c'est infernal. L'autonomie électrique des particuliers, voilà l'ennemi !
L'autonomie électrique photovoltaïque est quasiment impossible car les panneaux ne produisent d'électricité significative au mieux que trois heures et demi par 24 heures, autour du zénith.
L'autonomie électrique par éolienne est bien plus sérieuse, car contrairement aux panneaux, une éolienne moderne produit vraiment (pour commencer, elle ne s'arrête pas la nuit). Mais on se heurte au problème non résolu à ce jour du stockage de l'énergie produite. Avec des batteries, on a au mieux une autonomie de deux ou trois jours (il ne faut pas décharger les batteries de plus de moitié si on ne veut pas en changer tous les cinq ans).
L'éolien industriel est une hérésie écologique à cause du problème du transport de l'électricité et de la nécessité de construire plein de centrales thermiques pour régulariser ensemble les productions aléatoires. Mais l'éolien individuel, qui ne présente pas ces problèmes, aura de l'avenir le jour où on saura stocker l'énergie produite dans des batteries très longue durée et haute énergie à prix raisonnable. Ce jour-là, les particuliers ruraux pourront se rendre autonomes en énergie électrique, à condition toutefois qu'EDF et l'administration ne se liguent pas pour casser les reins à cette dangereuse concurrence.
En attendant, il ne faut pas se laisser berner par les miroirs aux alouettes !
Tu donne des chiffres nul ne sait quelle valeur ils on
Ils y a celui qui finnance et celui qui loue le risque est differant ceux qui investisent dans une location on du faire leurs propres calculs pour que leurs investissements soit rentable sinon ils n'investirais pas pour le proprietaite le risque est faible vu qu'il y a gros de matiere recyclable vendable est que le reste n'est pas polluant et en plus le terrain peu redevenir agricole rapidement
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PASCAL 69 a écrit:
26° d inclinaison c'est tres bien, quelle orientation?
sud-sudest!
pour l'inclinaison, on m'avait dit que ce n'était pas génial!
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Bonjour Master, sud sud-est et 26° d 'inclinaison c'est très bien, pour t'en convaincre je te propose de t'envoyer un rapport de dimensionnement qui traite de l'aspect technique et financier.
-Avec une boussole prends l'orientation exacte de ton batiment
-Avec un GPS donne moi la latitude et la longitude de ton batiment
-Type et état de ta toiture et de ta charpente
-Y a t'il des ombres portées sur cette toiture
-Es tu proche d'un monument historique
-Ta commune
-la surface que tu souhaite couvrir 60/100/200/1000/2000m2
Tu pourras te faire une idéé de l'intéret ou non d'une installation solaire photovoltaique.
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si les ferme photovoltaiques ont de l'avenir................. je ne vous dis pas la pression sur le foncier............... et les finances de la majorité des agri ne seront pas a la hauteur des investisseurs
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je viens d'apprendre un projet d'installation au sol à quelques km de chez moi y aurai plus de 20 Ha de réservé
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Je réponds ici à plusieurs intervenants et tout particulièrement à Pascal 69.
Ce dernier nous affirme par écrit qu'il connaît des constructeurs de panneaux photovoltaïques qui garantissent 80% de la production initiale au bout de 25 ans.
Moi j'affirme que c'est faux, c'est de la propagande et cela laisse bien des doutes sur la réalité du métier de Pascal69, qui se prétend ''installateur de panneaux photovoltaïques''. Il est encore plus faux que les panneaux auront encore 90% de leur capacité de production initiale au bout de dix ans.
D'ailleurs chacun voit la contradiction flagrante entre garantir 90% sur dix ans et 80% sur 25 ans. Cela signifierait que les panneaux en question perdent les 15 dernières années seulement les deux tiers de la capacité de production qu'ils ont perdue les dix premières années ! si on extrapole cette tendance, on a donc trouvé la pierre philosophale photovoltaïque, qui rajeunit au fur et à mesure qu'elle vieillit ! en effet, de l'année 11 à l'année 25, on perd les deux tiers de ce qu'on a perdu de l'année 1 à l'année 10, donc en continuant ainsi, de l'année 26 à l'année 48,5, le panneau ne perdra que les 2/3 des 10%, donc le panneau sera garanti produire la 48,5 ième année au moins 73,4 pour cent de la capacité iinitiale, et la 82 ième année, il produira encore 69 pour cent de sa capacité initiale !
Mais restons sérieux. Puisque, Pascal69, vous affirmez ces garanties mirobolantes, banco ! je vous mets au défi de donner l'adresse d'un de ces constructeurs merveilleux en écrivant au spécialiste photovoltaïque du Centre de Gestion Rurale de Limoux, 24 rue Blériot, 11300 LIMOUX. Adressez le courrier à Monsieur LELIEVRE, qui est le spécialiste en question. C'est d'ailleurs lui qui m'a épluché trois devis précis que j'avais fait établir pour couvrir mon hangar agricole de 400 m2. Son étude m'a coûté 100 euros, elle a été très bien conduite. C'est notamment lui qui m'a averti qu'aucun constructeur ne peut donner de garanties de productivité sérieuse sur plus de dix ans, et que de toutes façons quelle que soit la qualité du panneau, il perd chaque année 5 pour cent de sa capacité de production initiale. Ce qui signifie qu'au but de dix ans, la capacité de production d'un panneau est 0,95^(10)=environ 60 pour cent de sa capacité initiale et au bout de 20 ans, c'est 0,95^(20)=environ 36 pour cent de sa capacité de production initiale.
Que mes messages dérangent, je le comprends, il y a de quoi. Mais si certains ne veulent pas prendre au sérieux mes mises en garde, eh bien qu'ils investissent largement leur argent là-dedans ! s'ils ne savent pas quoi faire de leur argent, ça donnera de l'emploi aux chinois....puisque la plupart des panneaux viennent de Chine, et sinon, des Philippines. (Je vous signale en passant que le prix du panneau chinois rendu en France est extrêmement inférieur au prix qu'il est revendu par les installateurs ; le ratio prix d'achat net net du panneau/pris du panneau installé est un secret jalousement gardé).
Voici une autre indication caractéristique précise et vérifiable. La Mairie de Limoux (Aude) possède un terrain de 7 hectares juste au sud de la Coopérative agricole et vinicole de la route de Carcassonne. Des projets photovoltaïques mirifiques ont été élaborés sur ce terrain depuis 2007-2008. Mais voilà, le Conseil Général et le Conseil Régional (ce dernier gagné de haute lutte récemment par Georges Frèche), après étude à la loupe des dossiers, ont coupé le robinet des subventions, malgré les incessantes incantations sur les ''énergies propres'', ''énergie douces'', ''énergies renouvelables'' etc.
Du coup, tous ces projets sont tombés à l'eau. Aucun investisseur ne s'est plus déclaré intéressé. Si le photovoltaïque était si performant et si intéressant que le prétend Pascal69, dépendrait-il à ce point des subventions payées par les contribuables ? en fait, je connais l'un des investisseurs qui s'est poliment retiré, il m'a dit ''en coupant les subventions, ils ont coupé le meilleur de l'affaire''. A méditer....
Si vous voulez rendre discrets les démarcheurs de photovoltaïque, parlez-leur d'autonomie énergétique. Dites-leur que vous êtes intéressé par l'autonomie électrique et que vous voulez bien étudier avec eux un projet, même cher, qui vous rendrait complètement indépendant d'EDF tout en vous apportant les mêmes services à la ferme.
Et venez nous exposer ici le résultat de votre demande ! du moins, si au moins un installateur a pris la peine de vous étudier quelque chose en ce sens......là, je vous garantis que vous aurez rapidement une paix royale et n'entendrez plus jamais parler d'énergie électrique photovoltaïque.
Si vous estimez que demander l'autonomie est irréaliste (N.B. ça l'est en effet), proposez à vos intallateurs de leur louer le terrain sur lequel ils vont installer les panneaux si mirifiques. Calculez votre loyer en fonction de la production qui vous est affirmée, au prix du kWh indexé à raison d'une moyenne d'au moins 3 pour cent par an sur 25 ans. Tenez compte des charges fiscales dans votre calcul du loyer. Puisque Pascal69 nous assure qu'au bout de 25 ans, les panneaux auront encore 80 pour cent de leur capacité de production initiale, installer des panneaux chez vous sera très intéressant pour ces installateurs ; prenons un exemple concret : vous proposez de louer un terrain de 1500 m2 où sera construite une unité capable de produire 45 000 kWh par an. Raisonnons en euros constants (ce qui suppose qu'EDF revalorisera honnêtement son prix d'achat de votre kWh pendant 25 ans, en fonction des taux d'augmentation de ses tarifs). Au prix actuel valorisé sur 25 ans, ultrasubventionné de 0,35 ct d'euro nets par kWh effectivement mis sur le réseau, le chiffre d'affaires de l'installateur sera donc environ 15750 euros par an, et encore 12600 la 25ième année. La norme pour une affaire rentable est de demander grand minimum 20% du chiffre d'affaires en loyer. Donc demandez un loyer garanti de 3000 euros par AN, et indexé sur le prix de rachat du kWh photovoltaïque par EDF, avec bail de 25 ans.
Que celui qui aura trouvé un installateur qui va se ruer avec enthousiasme sur un contrat aussi intéressant nous en fasse part ici même, avec toutes les preuves écrites ! Sinon, laissons couler les beaux discours et les belles promesses !
RURAL FIER DE LETTRES
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Rural fier de Lettres a écrit:
Je réponds ici à plusieurs intervenants et tout particulièrement à Pascal 69.
Ce dernier nous affirme par écrit qu'il connaît des constructeurs de panneaux photovoltaïques qui garantissent 80% de la production initiale au bout de 25 ans.
Moi j'affirme que c'est faux, c'est de la propagande et cela laisse bien des doutes sur la réalité du métier de Pascal69, qui se prétend ''installateur de panneaux photovoltaïques''. Il est encore plus faux que les panneaux auront encore 90% de leur capacité de production initiale au bout de dix ans.
D'ailleurs chacun voit la contradiction flagrante entre garantir 90% sur dix ans et 80% sur 25 ans. Cela signifierait que les panneaux en question perdent les 15 dernières années seulement les deux tiers de la capacité de production qu'ils ont perdue les dix premières années ! si on extrapole cette tendance, on a donc trouvé la pierre philosophale photovoltaïque, qui rajeunit au fur et à mesure qu'elle vieillit ! en effet, de l'année 11 à l'année 25, on perd les deux tiers de ce qu'on a perdu de l'année 1 à l'année 10, donc en continuant ainsi, de l'année 26 à l'année 48,5, le panneau ne perdra que les 2/3 des 10%, donc le panneau sera garanti produire la 48,5 ième année au moins 73,4 pour cent de la capacité iinitiale, et la 82 ième année, il produira encore 69 pour cent de sa capacité initiale !
Mais restons sérieux. Puisque, Pascal69, vous affirmez ces garanties mirobolantes, banco ! je vous mets au défi de donner l'adresse d'un de ces constructeurs merveilleux en écrivant au spécialiste photovoltaïque du Centre de Gestion Rurale de Limoux, 24 rue Blériot, 11300 LIMOUX. Adressez le courrier à Monsieur LELIEVRE, qui est le spécialiste en question. C'est d'ailleurs lui qui m'a épluché trois devis précis que j'avais fait établir pour couvrir mon hangar agricole de 400 m2. Son étude m'a coûté 100 euros, elle a été très bien conduite. C'est notamment lui qui m'a averti qu'aucun constructeur ne peut donner de garanties de productivité sérieuse sur plus de dix ans, et que de toutes façons quelle que soit la qualité du panneau, il perd chaque année 5 pour cent de sa capacité de production initiale. Ce qui signifie qu'au but de dix ans, la capacité de production d'un panneau est 0,95^(10)=environ 60 pour cent de sa capacité initiale et au bout de 20 ans, c'est 0,95^(20)=environ 36 pour cent de sa capacité de production initiale.
Que mes messages dérangent, je le comprends, il y a de quoi. Mais si certains ne veulent pas prendre au sérieux mes mises en garde, eh bien qu'ils investissent largement leur argent là-dedans ! s'ils ne savent pas quoi faire de leur argent, ça donnera de l'emploi aux chinois....puisque la plupart des panneaux viennent de Chine, et sinon, des Philippines. (Je vous signale en passant que le prix du panneau chinois rendu en France est extrêmement inférieur au prix qu'il est revendu par les installateurs ; le ratio prix d'achat net net du panneau/pris du panneau installé est un secret jalousement gardé).
Voici une autre indication caractéristique précise et vérifiable. La Mairie de Limoux (Aude) possède un terrain de 7 hectares juste au sud de la Coopérative agricole et vinicole de la route de Carcassonne. Des projets photovoltaïques mirifiques ont été élaborés sur ce terrain depuis 2007-2008. Mais voilà, le Conseil Général et le Conseil Régional (ce dernier gagné de haute lutte récemment par Georges Frèche), après étude à la loupe des dossiers, ont coupé le robinet des subventions, malgré les incessantes incantations sur les ''énergies propres'', ''énergie douces'', ''énergies renouvelables'' etc.
Du coup, tous ces projets sont tombés à l'eau. Aucun investisseur ne s'est plus déclaré intéressé. Si le photovoltaïque était si performant et si intéressant que le prétend Pascal69, dépendrait-il à ce point des subventions payées par les contribuables ? en fait, je connais l'un des investisseurs qui s'est poliment retiré, il m'a dit ''en coupant les subventions, ils ont coupé le meilleur de l'affaire''. A méditer....
Si vous voulez rendre discrets les démarcheurs de photovoltaïque, parlez-leur d'autonomie énergétique. Dites-leur que vous êtes intéressé par l'autonomie électrique et que vous voulez bien étudier avec eux un projet, même cher, qui vous rendrait complètement indépendant d'EDF tout en vous apportant les mêmes services à la ferme.
Et venez nous exposer ici le résultat de votre demande ! du moins, si au moins un installateur a pris la peine de vous étudier quelque chose en ce sens......là, je vous garantis que vous aurez rapidement une paix royale et n'entendrez plus jamais parler d'énergie électrique photovoltaïque.
Si vous estimez que demander l'autonomie est irréaliste (N.B. ça l'est en effet), proposez à vos intallateurs de leur louer le terrain sur lequel ils vont installer les panneaux si mirifiques. Calculez votre loyer en fonction de la production qui vous est affirmée, au prix du kWh indexé à raison d'une moyenne d'au moins 3 pour cent par an sur 25 ans. Tenez compte des charges fiscales dans votre calcul du loyer. Puisque Pascal69 nous assure qu'au bout de 25 ans, les panneaux auront encore 80 pour cent de leur capacité de production initiale, installer des panneaux chez vous sera très intéressant pour ces installateurs ; prenons un exemple concret : vous proposez de louer un terrain de 1500 m2 où sera construite une unité capable de produire 45 000 kWh par an. Raisonnons en euros constants (ce qui suppose qu'EDF revalorisera honnêtement son prix d'achat de votre kWh pendant 25 ans, en fonction des taux d'augmentation de ses tarifs). Au prix actuel valorisé sur 25 ans, ultrasubventionné de 0,35 ct d'euro nets par kWh effectivement mis sur le réseau, le chiffre d'affaires de l'installateur sera donc environ 15750 euros par an, et encore 12600 la 25ième année. La norme pour une affaire rentable est de demander grand minimum 20% du chiffre d'affaires en loyer. Donc demandez un loyer garanti de 3000 euros par AN, et indexé sur le prix de rachat du kWh photovoltaïque par EDF, avec bail de 25 ans.
Que celui qui aura trouvé un installateur qui va se ruer avec enthousiasme sur un contrat aussi intéressant nous en fasse part ici même, avec toutes les preuves écrites ! Sinon, laissons couler les beaux discours et les belles promesses !
RURAL FIER DE LETTRES
salut , et ceux qui font un hangar gratuit , y a des risques ?
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Merci à RURAL d' avoir éclairé de façon contradictoire ce débat, où de toute évidence il y aura de grosses déceptions!
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moi j'avait un projet perso ca fait plus de 9 mois que j'y travaille et finalement je crois que je vait abaandonner.la rentabilite est presque nulle loin de ce que voulait nous faire croire les marchands de panneaux.quand on a compte les emprunts ,les interets les differes assurances contrat de maintenance, comptabilite, taxe proffessionnelle, remplacement des onduleurs et pour finir la msa et ben il reste pas grand chose
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si vous êtes intéresser un petit rapport sur la production de quelques sites qui ont quelques années http://www.hespul.org/IMG/pdf/Synthese_ … avr_07.pdf
sur le site de l'hespul vous pourrez trouver d'autres renseignements
c'est bizarre mais on ne retrouve vraiment pas ce que dit "rural fier de lettres" sur la chute de production électrique
pourquoi les supermarché et autres ne sont pas recouverts ; les toitures sont rarement avec les bonnes inclinaisons et orientations premièrement et deuxièmement la rentabilité n'est pas à 3 ou 4 ans donc aucun intérêts
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Bonjour à tous,
vous pouvez vérifier les garanties par exemple des panneaux SANYO, www.sanyo-solar.eu puis Déclarations de garantie puis Garantie NKHE5 . Je confirme que les installations solaires photovoltaiques sont tres rentable, avec la bonne orientation et la bonne inclinaison. De nombreuses installations sont amortis en 8 ans. Je respecte les gens pas intéresses mais il faut bien analyser tous les parametres avant d'inventer des histoires à dormir debout !
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