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quelqu'un a t-il deja essayé de profiter d'un sol gelé pour apporter son azote liquide,heu....juste comme ça une idée...
(ça traine cette année...)
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dans 50% des cas , nous effectuons les apports de solution sur sol gelé pour bénéficier de la portance du sol
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Attention aux pertes, si ça ne dégèle pas rapidement ça revient à épandre sur sol sec...
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Seb77 a écrit:
Attention aux pertes, si ça ne dégèle pas rapidement ça revient à épandre sur sol sec...
On fait ce qu'on peut avec des terres qui ne te laissent pas trop le choix .
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Le premier facteur de brulure du blé par l'azote liquide est le vent, vient ensuite la rosée. Les risques sont plus limités sur feuilles sèches et inexistants sous la pluie.
Aussi curieux que cela puisse paraître, ARVALIS soutient résultats d'essais à l'appui, que la perte de rendement due aux brulures est inexistante. Les éminents spécialistes précisent toutefois que ce n'est pas la même histoire si les épis sont touchés. S'il doit y avoir un passage d'azote sous la forme solide cela concerne donc bien celui de fin montaison.
Si comme dans beaucoup de régions la pluie reste rare, la forme solide limite les pertes par évaporation qui peuvent par temps chaud, sec et venteux s'élever jusqu'à 25 %, ce qui correspond à la partie ammoniacale de la solution N 39
Dernière modification par Doucefrance (05/05/2010 22:44:40)
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