Agriavis recueille l'avis des agriculteurs sur les matériels, semences et plants, engrais, produits phytosanitaires, services et produits pour les animaux qu'ils utilisent sur leur exploitation
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La vie quotidienne sur une ferme viking par orpailleur79
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1 | 7735 | 30/01/2025 21:44:54 par charle14 |
Agram Trailer 11T - 14T - 16T et 18T par FRANCK8210
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1 | 4919 | 30/01/2025 21:44:20 par charle14 |
10 | 8108 | 30/01/2025 21:43:17 par charle14 | |
Claas Lexion 540/ 540 C par redg49
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2 | 8468 | 13/09/2024 10:59:14 par atvas |
Presse John Deere 580 par Antoine33910
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2 | 6810 | 09/09/2024 00:51:17 par J-p75 |
Voilà l'histoire réelle d'une expression connue de tous, mais dont l'origine est malheureusement inconnue de beaucoup.
Par un beau jour d'automne de l'année 1720, le duc de Saint Romain Lachalm, passionné par la chasse mais frustré par le peu de gibier qu'il ramenait de ses pérégrinations forestières en terre d'Auvergne, imagina qu'il devait être possible de fabriquer un outil apte à lui faciliter la tâche et rendre plus plaisante sa traque des animaux, particulièrement à plumes.
Il convoqua donc tous les artisans de la contrée pour mettre au concours la concrétisation de cette idée, leur laissant deux mois pour fabriquer le plus inventif et le plus efficace des appareils.
A peine une semaine plus tard, un marchand du nom de Martin Ékouille, se présenta au château clamant à qui voulait l'entendre qu'il possédait ce dont le duc rêvait.
Il obtint sans peine une audience auprès du noble seigneur et s'empressa de lui faire la démonstration de sa merveille.
Devant une assemblée dubitative mais curieuse, il sortit de sa poche un minuscule sifflet (que plus tard on nommera appeau), le porta à sa bouche pour émettre un son strident.
A peine quelques secondes plus tard, des dizaines d'oiseaux de toutes sortes virevoltaient autour de lui, comme attirés et charmés par cette étrange mélodie.
Le duc imagina sans peine le profit qu'il pouvait tirer d'un tel accessoire lors des ses futures chasses.. Il s'éclaircit la gorge et ne prononça qu'une seule phrase : " Combien cela va-t-il me coûter?... "
Martin Ékouille, sûr de lui, rétorqua qu'il accepterait de se séparer de son objet en échange de la moitié de la fortune de son interlocuteur.
Cette requête fit sourire l'assemblée mais le duc, à la surprise générale, gardant son sérieux, accepta la transaction !...
La nouvelle fit grand bruit et se répandit vite bien au delà des limites du duché : un marchand avait vendu un sifflet pour une somme astronomique au Duc, qui en avait payé le prix sans broncher.
Cette anecdote a subsisté dans la langue française pour qualifier les objets hors de prix :
« Ca coûte l'appeau d'Ékouille »>
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Pas mal
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J'ai trouvé cela aussi, c'est assez drôle:
Socrate était un philosophe grec réputé pour sa sagesse. Un jour qu'il se promenait sur l'agora, il fut abordé par un quidam qui l'interpella ainsi :
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> - Socrate ! Sais-tu ce que je viens d'apprendre à propos d'un de tes élèves ?
> - Attention ! lui dit Socrate, avant de dire quoi que ce soit, il faut que tu passes un certain test. Je l'appelle le test du triple filtre...
> - Triple filtre ?
>
> - Oui. Avant que tu ne me parles d'un de mes élèves, ce serait bien que tu filtres ce que tu vas dire... Le premier filtre est le filtre VÉRITÉ : Es-tu absolument certain que ce que tu vas me dire est vrai ?
> - Euh... C'est à dire... Non. Je l'ai juste entendu dire...
>
> - Bien, tu n'es donc pas certain que ce que tu vas dire est la vérité. Le second filtre est la BONTÉ. Ce que tu as à me dire est-il bon pour mon élève ?
> - Ben... pas exactement...
>
> - Donc, tu veux me dire quelque chose de désagréable pour mon élève sans être sûr que c'est vrai. Essayons le troisième filtre, si tu veux bien. Il s'agit du filtre de l'UTILITÉ : Ce que tu veux me dire est-il utile pour moi ?
> - C'est difficile à dire, plutôt non, en réalité...
> - Tu m'accorderas donc que tu souhaites me confier quelque chose de désagréable sur mon élève, qui ne me sera d'aucune utilité et dont tu n'es pas sûr que ce soit vrai. Ne crois-tu pas qu'il vaudrait mieux, dans ce cas, te taire ?
>
> - Si, Socrate, je vois bien que tu as raison. Je me tairai donc.
>
> C'est par ce genre de raisonnement que Socrate est passé à la postérité comme un grand sage.
>
> C'est aussi du fait de ce genre d'attitude, qu'il n'a jamais su que Platon baisait sa femme...
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