Agriavis recueille l'avis des agriculteurs sur les matériels, semences et plants, engrais, produits phytosanitaires, services et produits pour les animaux qu'ils utilisent sur leur exploitation
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déplacement de Lemaire dans le morbihan !!!!!
il va falloire que cela bouge pour ne pas se faire en.......é !!!!!!! 
Bruno Le Maire veut accélérer la contractualisation
(d'après AFP - 21/07/09)
Lors d'un déplacement à Lanouée (Morbihan) où il a rencontré des éleveurs laitiers, le ministre de l'Agriculture, Bruno Le Maire, a indiqué qu'il souhaitait accélérer la réorganisation de la filière et notamment la mise en place de contrats.
« Il n'y a pas une semaine à perdre. Au 1er octobre, je regarderai où on en est de la contractualisation », a-t-il martelé lors d'une réunion regroupant élus locaux, syndicalistes agricoles, et représentants de l'association des producteurs apporteurs de lait à Entremont Alliance.
Le ministre veut notamment accélérer la conclusion de contrats « justes et équilibrés » entre producteurs et transformateurs « sur une base collective et non individuelle », pour que les éleveurs « sachent où ils mettent les pieds quand ils livrent leur lait ».
Le ministre a plaidé pour une « régulation du marché du lait au niveau européen », comme cela s'est fait récemment dans le domaine financier. « Peu d'États souhaitent la régulation comme la France, mais c'est indispensable pour avoir un minimum de garanties nécessaires face aux aléas du marché », dit-il.
«C'est pas un compromis, c'est une catastrophe »
Devant quelque 300 producteurs laitiers bretons livrant pour la plupart à Entremont Alliance, M. Le Maire a prôné l'apaisement. « Même s'il n'est pas formidable », le prix garanti par Entremont Alliance pour juillet et août « nous donne quelques semaines pour trouver une solution industrielle intelligente pour le groupe », a-t-il estimé.
Debout au fond de la salle, un éleveur des Côtes d'Armor s'est emporté : ce prix de 245 euros les 1.000 litres, « c'est pas un compromis, c'est une catastrophe! Perdre encore 80 euros par mois en juillet et en août, je ne peux plus l'accepter! ». Ses collègues ont applaudi.
A des producteurs réclamant des exonérations de charges pour les mois à venir, le ministre a répondu qu'il allait « examiner les mesures proposées aujourd'hui. S'il faut, l'État aidera à passer cette période difficile ». Dans la salle, un producteur a coupé le ministre: « Faut pas attendre que les gens soient morts pour les ranimer! ».
« Je vois bien que les producteurs n'en peuvent plus (...) mais à nous de rétablir la confiance et à veiller à ce que les choses aillent vite », a conclu le ministre devant la presse.
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la contractualisation avec une production aleatoire c est tout benef pour l industriel...
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ben ça se fera sans moi , çar je ne veut pas devenir l'esclave de ces sangsues .
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petit chat 29 a écrit:
ben ça se fera sans moi , çar je ne veut pas devenir l'esclave de ces sangsues .
petit chat c est ce qu on disait avant 92 et la nouvelle pac
ce qu on disait avant la CPBE
ce qu on disait avant la conditionnalite
ils vont nous mettre dans la seringue comme d habitude et c est nous qui allons appuyer nous meme sur la detente
henri B et JML(avec l aide de bruno le maire), ont juste un petit caillou dans leur chaussure (APLI)
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la contractualisation, j'ai bien peur que ça devienne vite de l'intégration.le probleme c'est qu'on a pas, pour l'instant, d'autre alternative en vue.j'espere qu'avec l'apli on aura d'autres proposition.moi ce qui me plairait,c'est de rester maitre de ma production,quitte a produire moins.
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mon chef m'a dit que entremont dont le siège est à annecy, va laisser 600 millions de l de lait
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MANU 53 a écrit:
la contractualisation, j'ai bien peur que ça devienne vite de l'intégration.le probleme c'est qu'on a pas, pour l'instant, d'autre alternative en vue.j'espere qu'avec l'apli on aura d'autres proposition.moi ce qui me plairait,c'est de rester maitre de ma production,quitte a produire moins.
Pour l'instant il n'y a pas lieu d'avoir d'autres alternatives puisqu'on est dans un régime de quota jusqu'en 2015 
Juste accepter de stopper provisoirement la hausse prévue tous les ans si il n'y aps de marché en face...
ça parait pourtant assez simple.
Dernière modification par Jean Tleman (26/07/2009 12:24:07)
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au sujet de la contractualisation, on dit facilement................... pas comme en porc!
je peux vous dire qu'en porc on est pas intégrer, on est patron chez soit, in choisi qui on veux comme partenaire................. on est tellement libre et independant que l'on regarde que notre elevage et on gagne en productivité tous les ans.................... on compense meme les arrets de producteurs................... qui fait que la quantité européenne se maintient et les prix ne decolle pas...............
si les éléveurs qu'il soit laitiers ou producteurs de porcs ou meme de volaille ARRETAIT D'ACCEPTER DE TRAVAILLER COMME DES ESCLAVES ILS SERAIENT BIEN OBLIGES DE DONNER DES CONTRATS REMUNERATEUR
mais le probleme entre un laitier qui a une cout de production de 350 euros et un autre a 240 euros il y en aura un qui gagnera sa vie a 300 euros et l'autre il vivra avec un salaire exterieur ou une deuxieme production.
le probleme de la contractualisation est un probleme d'etat d'esprit des producteurs ==>s'il y avait des quotas Aet B combien de laitiers diraient a leur coop " moi, je ne produit pas a 180 euros je prefere le mettre a la fosse ou tarir les vaches!!!!!!!!!!!"
nous eleveurs de porcs et nos groupement de producteurs qu'ont autant de raisonnement qu'un cycliste de tour de france (===> je veux etre le maillot jaune) qu'avons nous fait en octobre 2007 qu'en les porcelet de 8 kg se vendait 9 euros pieces, meme pas de quoi payer la nourriture de leur mere, au lieu de les euthanasier pour assainir le marché on les a vendu aux espanols qui nous ont piqués des marchés de salaisons 5 mois apres.
si la contractualisation vient en lait comme en porc...................... éh bien vous avez des soucis a vous faire parceque ca sera pire que l'intégration.................. vous aurez une super année pour faire "joli tas" et pouvoir taper dedans les 4 suivantes.
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Jean Tleman a écrit:
MANU 53 a écrit:
la contractualisation, j'ai bien peur que ça devienne vite de l'intégration.le probleme c'est qu'on a pas, pour l'instant, d'autre alternative en vue.j'espere qu'avec l'apli on aura d'autres proposition.moi ce qui me plairait,c'est de rester maitre de ma production,quitte a produire moins.
Pour l'instant il n'y a pas lieu d'avoir d'autres alternatives puisqu'on est dans un régime de quota jusqu'en 2015
Juste accepter de stopper provisoirement la hausse prévue tous les ans si il n'y aps de marché en face...
ça parait pourtant assez simple.
le probleme ,c'est que meme avec les quotas ,on est en crise .pour moi ,il faut vraiment que la maitrise des volumes reste au producteur.si le prix baisse trop ,onferme les vannes.je ne vois vraiment pas a quoi ça sert de produire toujours plus pour compenser la baisse des prix.
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massey8210 a écrit:
au sujet de la contractualisation, on dit facilement................... pas comme en porc!
je peux vous dire qu'en porc on est pas intégrer, on est patron chez soit, in choisi qui on veux comme partenaire................. on est tellement libre et independant que l'on regarde que notre elevage et on gagne en productivité tous les ans.................... on compense meme les arrets de producteurs................... qui fait que la quantité européenne se maintient et les prix ne decolle pas...............
si les éléveurs qu'il soit laitiers ou producteurs de porcs ou meme de volaille ARRETAIT D'ACCEPTER DE TRAVAILLER COMME DES ESCLAVES ILS SERAIENT BIEN OBLIGES DE DONNER DES CONTRATS REMUNERATEUR
mais le probleme entre un laitier qui a une cout de production de 350 euros et un autre a 240 euros il y en aura un qui gagnera sa vie a 300 euros et l'autre il vivra avec un salaire exterieur ou une deuxieme production.
le probleme de la contractualisation est un probleme d'etat d'esprit des producteurs ==>s'il y avait des quotas Aet B combien de laitiers diraient a leur coop " moi, je ne produit pas a 180 euros je prefere le mettre a la fosse ou tarir les vaches!!!!!!!!!!!"
nous eleveurs de porcs et nos groupement de producteurs qu'ont autant de raisonnement qu'un cycliste de tour de france (===> je veux etre le maillot jaune) qu'avons nous fait en octobre 2007 qu'en les porcelet de 8 kg se vendait 9 euros pieces, meme pas de quoi payer la nourriture de leur mere, au lieu de les euthanasier pour assainir le marché on les a vendu aux espanols qui nous ont piqués des marchés de salaisons 5 mois apres.
si la contractualisation vient en lait comme en porc...................... éh bien vous avez des soucis a vous faire parceque ca sera pire que l'intégration.................. vous aurez une super année pour faire "joli tas" et pouvoir taper dedans les 4 suivantes.
+1 bien dit
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MANU 53 a écrit:
le probleme ,c'est que meme avec les quotas ,on est en crise .pour moi ,il faut vraiment que la maitrise des volumes reste au producteur.si le prix baisse trop ,onferme les vannes.je ne vois vraiment pas a quoi ça sert de produire toujours plus pour compenser la baisse des prix.
le pb c'est que ce n'est pas le paysans qui tiennent les commandes du marché, un jour p'être ....
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Jean Tleman a écrit:
MANU 53 a écrit:
la contractualisation, j'ai bien peur que ça devienne vite de l'intégration.le probleme c'est qu'on a pas, pour l'instant, d'autre alternative en vue.j'espere qu'avec l'apli on aura d'autres proposition.moi ce qui me plairait,c'est de rester maitre de ma production,quitte a produire moins.
Pour l'instant il n'y a pas lieu d'avoir d'autres alternatives puisqu'on est dans un régime de quota jusqu'en 2015
Juste accepter de stopper provisoirement la hausse prévue tous les ans si il n'y aps de marché en face...
ça parait pourtant assez simple.
tu as raison, mais pourquoi sont t'ils si pressé de mettre en place la contractualisation.?
pourquoi stopper provisoirement la hausse puisqu'il y a un marché beurre poudre en face. le prix de ces produits doit certainement satisfaire la majorité des pays europeens
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J'suis pas prophète 
mais mieux vaut profiter d'une crise pour ficeler un système qui va nous asservir pendant un certain temps.(pour les acheteurs bien sûr)
Et puis en effrayer ou en décourager le plus grand nombre de façon à avoir une troupe noyée sous le boulot et qui n'a plus le temps de réfléchir.
Tu dis qu'il y a un marché pour la poudre?
ouais mais on y a remis l'intervention et il est prévu de poursuivre...Donc si c'est ça le marché!!!
je dirais que ça ressemble plus à du débarras et en plus ça fait disparaitre d'autres paysans dans le monde qui n'y sont pour rien....
Du libéral à coup de dumping...
Dernière modification par Jean Tleman (26/07/2009 18:43:11)
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Le libéralisme c'est lorsqu'on est plusieurs pour décider librement d'accepter ou de refuser un accord. Le communisme c'est quand un seul décide pour les autres. Par dogme ou par nécessité qu'est ce que cela change si les agriculteurs ne décident de rien : ce n’est pas la même étiquette mais c’est le même résultat ! On dit que c'est comme les marchés financiers. Je dis non car bien qu'il ait été donné du pognon aux banquiers (collectivement), cela n'empêche pas les placements individuels qui se refont une santé moins de 10 mois après le début de la crise. Encore une différence: avec un contrat de chiotte comme ca c'est en prendre pour 10 ans ou plus sans pouvoir profiter d'une augmentation éventuelle de la conso. Bref, une belle arnaque réservée aux agriculteurs comme d'habitude, dès fois qu’ils pourraient profiter du système !... Intégration, communisme, kolkhozien, dans ces conditions, à vous de choisir le nom de l’activité qui convient!
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Les industriels ne voient pas plus loin que le bout de leur nez. Les contrats ,ils peuvent les mettre en place,mais il vont avoir le revers de plusieurs années du mépris de notre travail puisque les jeunes ne voudront plus s'embéter avec les vaches.
En Europe on copie la russie qui a détruit son agriculture,sauf que c'est le libéralisme qui détruit.
On importera le lait,comme on importe la viande bovine,ovine,bovine.
C'est pas grave on peut importer,on est dans un pays riche.
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