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1/10/12
Bovins lait
Gouvernement et syndicats dénoncent la baisse annoncée du prix du lait
Après le premier groupe coopératif français Sodiaal, c’est au tour du groupe laitier privé Lactalis d’annoncer une baisse du prix du lait aux producteurs. Le ministre de l'Agriculture et les différents syndicats agricoles dénoncent cette décision.
La semaine dernière, Lactalis a confirmé avoir pris la décision de baisser ses prix de 5 euros par 1.000 litres à partir du 1er octobre 2012, un choix « dicté par la nécessité », selon un porte-parole du groupe. Le groupe coopératif Sodiaal avait fait la même annonce fin août à ses sociétaires.
Vendredi dernier, à l’occasion d'une conférence de presse de présentation du budget 2013 de son ministère, Stéphane le Foll a estimé que tout ça n’était « pas très cohérent ». "Il y a là une rupture de contrat rapide" et "on va améliorer la démarche contractuelle au niveau national ", a promis le ministre.
Saisir le médiateur des négociations commerciales
Mardi, la Fédération nationale des producteurs de lait (FNPL) avait annoncé son intention de saisir le médiateur des négociations commerciales car, selon elle, Lactalis "ne respecte pas le contrat qu'il a signé avec ses éleveurs". "La mise en oeuvre de la clause de sauvegarde et notamment la détermination de nouveaux éléments fixant le prix du lait ne peut se faire de manière unilatérale sans entrer en négociation avec les représentants des producteurs", a rappelé la FNPL qui demande à Lactalis de revenir à la table des discussions.
De leur côté, les Jeunes Agriculteurs dénoncent "cet alignement vers le bas qui se fait au mépris de la situation des producteurs ».
La Confédération paysanne a également évoqué dans un communiqué "l'attitude inacceptable des entreprises de transformation" du lait. "Cela témoigne du mépris des collecteurs pour les éleveurs laitiers confrontés à l'explosion des coûts de l'alimentation animale" , considère le syndicat agricole qui "renouvelle sa demande au ministère de l'Agriculture d'une remise à plat du système actuel, qui vient de faire la preuve de son inefficacité" .
http://www.pleinchamp.com/elevage/bovin … ix-du-lait
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Réflexion remis au gout du jour par Nicolas Doze de BFM TV ( que j'ai beaucoup de mal à voir en peinture, mais bon 
sur ce coup là 
c'est pil poil ce qui nous concerne :
"Il faut produire ce qui se vend et non vendre ce que l'ont produit".
Et maintenant faut pas venir pleurer avec le pied sur l'accélérateur.
Encore merci au petit nouveau de la FNPL 
http://forum.agriavis.com/viewtopic.php?id=11405
Merci aux 200 pélerins :
https://sites.google.com/site/nonauxpenaliteslaitieres/
Dernière modification par titian (07/10/2012 09:10:33)
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"Il faut produire ce qui se vend et non vendre ce que l'ont produit".
pour le lait , c'est si simple !
le bon comme le mauvais est mélange quand il le prenne à la ferme ! une fois à l'usine il le travaille , récupère les protèines pour les vendre plein POT
AVEC LE RESTE , les résidus : il le vende en liquide aux consommateur avec un super marketing SANS MG ou en poudre pour donner aux veaux
les humains trouveront de l'énergie mais avec leur méthodes à la con , le prix des veaux s'écroule !
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dommage que nos chers syndicats n agissent pas autant qu ils denoncent!
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clos61 a écrit:
"Il faut produire ce qui se vend et non vendre ce que l'ont produit".
Pour le lait , c'est si simple !
Oui c'est trés simple :
Un lien en .gouv SVP de 2005
http://agriculture.gouv.fr/IMG/pdf/gouin_nee24_tap.pdf
La conclusion :
Daniel-Mercier Gouin
��
La performance économique comparée des systèmes de régulation du secteur laitier, une analyse internationale
NEE n°24, décembre 2005,
pp. 99-133
Résumé
Dans un contexte d'ouverture des marchés et de remise en cause des outils
d'intervention de l’État en agriculture, cet article s’intéresse à analyser les
différents systèmes de régulation du secteur laitier qui sont mis en oeuvre dans
les principales économies laitières des pays développés (Canada, États-Unis,
France, Pays-Bas, Australie et Nouvelle-Zélande) et de discuter leurs
avantages et inconvénients respectifs. À la suite d’une analyse de la
performance comparée des systèmes de régulation, l’auteur conclut que le
système de gestion de l’offre au Canada est celui qui stabilise le mieux les prix
à la production à un niveau généralement supérieur à ce qui a cours dans les
autres pays analysés. Paradoxalement, c’est dans les pays où il y a gestion de
l’offre, Canada, France et Pays-Bas, que les prix à la consommation ont le
moins augmenté au cours de la période d’observation, au bénéfice donc des
consommateurs nationaux de produits laitiers. Quant aux coûts budgétaires par
tonne de lait produit, ils sont les plus faibles en Nouvelle-Zélande, puis au
Canada alors que c’est dans l’Union européenne qu’ils sont les plus élevés.
Finalement, à la suite de ces constats, l’auteur questionne la finalité d'une
remise en cause de la gestion de l’offre dans le secteur laitier. Son analyse le
conduit à conclure que la gestion de l’offre dans le secteur laitier est un
système de régulation toujours pertinent.
A la question soulever par l'auteur : a qui profite le démentellement de la gestion de l'offre ?
J'ai ma ma petite idée : http://fr.wikipedia.org/wiki/Volatilit%C3%A9_(finance)
A qui profite la volatilté ?
http://www.trading-school.eu/glossaire- … licite-110
Une action peu volatile reste proche d’un cours de référence, stable, ni en tendance haussière ni en tendance baissière. Ces actions peu volatiles, dont le cours varie peu et dans une zone très étroite, n’offrent que peu ou pas de possibilité de gain. Posséder de tels actifs stagnants immobilise inutilement une partie du capital.
Le niveau de volatilité ne se soucis pas du sens du mouvement. Seule l’amplitude des mouvements compte. Plus ils seront conséquents plus la volatilité sera grande.
Dernière modification par titian (07/10/2012 09:38:03)
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Dans la suite logique.
La seule véritable réalisation de BLM post 2009, en faveur de régulation dit on :
http://www.terre-net-webtv.fr/Marche-a- … _v851.html
Oh 
il y a aussi la contractualisation , mais ça c'est juste de la com pour occuper la galerie des ploucs survivants, et accésoirement une boite à outil juridique au service des industriels pour sécuriser leur approvisionement et l'intégration. Pour preuve la vitesse d'application du décret des OP qui l'ont ne conçoit que miniscules et chaperonnées.
Dernière modification par titian (07/10/2012 09:27:53)
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titian suite àton message je deviens comme le chien, je part en courant , je décroche à toutes ces lectures qui nous pourrissent la vie
tu est agris ou prof !
Bravo pour savoir ou récolter toutes ces infos ! cela peut servir aux passionnés de la lecture 
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clos61 a écrit:
Tu est agris ou prof !
Plouc de base, et accéssoirement encore producteur de lait.
Pour les lecture je comprend que tu souhaite partir en courant à la vue de la réalité du premier lien institutionel.
Cela fait d'autant plus raler que les décideurs étaient visiblement bien informer, alors aujourd'hui les syndicats peuvent bien dénoncer et faire leur cinéma avec les politiques, faudrait pas quant même nous prendre pour plus imbéciles que l'ont n'est assez déja.
Mais bon pour finir de casser l'ambiance, avec une lecture et un auteur à gerber, un dernier lien qui acrédite qu'il y a encore de la réserve d'esclaves, nos maitres savent eux trés bien calculer le point d'équilibre des 2/3 supérieurs des apporteurs de matières premières en incluants même des paramètres sociologiques.
Le lien :
http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j … 3iMF6qe3NQ
Dernière modification par titian (07/10/2012 12:08:55)
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Plouc de base, et encore producteur de lait.
ouais ! ouais ! 
En deux mot j'ai retenu une chose dans la conclusion
En cas de suppression des quotas laitiers, les entreprises sont susceptibles d'avoir un pouvoir plus grand dans le mécanisme de fixation du prix du lait !
les plouc vont subir des pressions ! ils ont raison quand on voit le comportement réfractaire à créer la force de notre métier !
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clos61 a écrit:
Quand on voit le comportement réfractaire à créer la force de notre métier !
C cela oui ,comportement réfractaire tout aussi répandue que celui de resistant au lendemain de la guerre
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Un train important est passé en 2009, libre à toi d'éssayer d'en faire partir de nouveaux, mais j'est quant même l'humble impression que tu a manquer pas mal d'épisodes de frèt et d'arrèts en gare.
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tu sais TiTian on disait à mon père il y a pas si longtemps que la viande des vaches laitières serait invendable , conclusion il courre après les industrielles
tout les plans sur la comète sont revues sans cesse car tu sais il y aura toujours des gens comme moi pour les faire transpirer tous ces monopolisateurs de marché !
Sache que l'éléphant à toujours peur de la souris . et la moustique si petite elle soit fait encore des ravages pour la peau de l'humain si tu en a une dans ton lit !
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C'est trés bien de vouloir jouer les moutiques, mais pour cela faut d'abord savoir ne pas se faire avoir avec le premier néon bleuté qui passe : le prix carcasse de nos réformes a t'il vraiment atteint des sommets si on le compare avec celui pratiquer il y a 20 ans et pire celui à l'étal ???
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alors en marche avant toute §