Agriavis recueille l'avis des agriculteurs sur les matériels, semences et plants, engrais, produits phytosanitaires, services et produits pour les animaux qu'ils utilisent sur leur exploitation
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Selon le dernier sondage FNSEA/IFOP réalisé du 24 au 30 octobre 2013 (échantillon de 1502 exploitants agricoles, représentatif des exploitations agricoles professionnelles françaises), 51% des sondés jugent "satisfaisante" la situation économique actuelle de leur exploitation (ils étaient 48% en juin 2013). Par contre, 30% des sondés la jugent "mauvaise". Ce chiffre est en nette augmentation. Ce sentiment est partagé par une majorité d'horticulteurs, d'éleveurs bovins, ovins, caprins, d'agriculteurs des régions Bretagne et Rhône-Alpes.
44% des sondés pensent que la situation économique de leur exploitation sera plus défavorable dans les années qui viennent. Ce pourcentage est le plus élevé depuis ces dernières années. Le sentiment est partagé par les 60 ans et plus, les viticulteurs, les grandes cultures, la polyculture élevage, les agriculteurs des régions IDF, Nord, PDC, Picardie, Normandie, Champagne Ardenne, Alsace, Lorraine, PACA, Languedoc Roussillon.
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Ceux qui ont appris qu'ils perdaient des aides ne peuvent pas avoir le moral. Il n'y a qu'une hausse des prix de nos produits pour mettre tout le monde d'accord. Mais encore faut-il que les charges ne continuent pas d'augmenter et ça, c'est vraiment pas sur ...
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Ce n'est pas facile pour personne...
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maxideutz a écrit:
Ceux qui ont appris qu'ils perdaient des aides ne peuvent pas avoir le moral. Il n'y a qu'une hausse des prix de nos produits pour mettre tout le monde d'accord. Mais encore faut-il que les charges ne continuent pas d'augmenter et ça, c'est vraiment pas sur ...
je suis tout à fait d'accord avec toi, je l'ai dis il n'y a pas longtemps dans une autre rubrique, mais quand c'est moi qui le dis, je me fais allumé!
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T'inquiètes pas, on peut me dire n'importe quoi, ca m'empéchera pas de dormir. Je vais me permettre de développer quelque chose, en 2010, le montant total de mes aides du gaec représentait environ 33 % du chiffre d'affaires et représentait à 1000 euros près notre EBE. Donc ce qui veut dire que si les aides venaient à sauter, il faudrait au minimum du lait à 45-50 centimes et de la viande à plus de 5 euros le kilo de carcasse, pour résumer les prix de nos produits devraient etre multipliés par 1.5 voir un peu plus meme. Et si, les charges re-explosent d'un cran, il n'y aura pas grand monde qui résistera.
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