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Lu sur EconomiePolitique.org:
"Alors que Vincent Peillon a annoncé, le 26 juin 2013, le recrutement supplémentaire de 10 000 postes dans l’enseignement secondaire, en plus des 60 000 postes prévus dans la loi sur l’école qui vient d’être définitivement adoptée, la révélation de la fondation iFRAP fait l’effet d’une bombe.
200 000 professeurs fantômes dans l’éducation nationale et on recrute encore
En effet, la Fondation iFRAP (think tank dédié à l’analyse des politiques publiques, laboratoire d’idées innovantes) annonce 200 000 professeurs fantômes dans l’éducation nationale.
Selon la fondation, en 2012, 92 439 enseignants sur un total de 837 000 n’étaient pas chargés d’une classe. Ces enseignants sont « déchargés de service public » mais continuent pour autant à percevoir leur traitement.
Ce fut par exemple le cas de Luc Ferry, professeur à l’université Paris-Diderot, qui n’a assuré aucun cours durant quatorze ans, car il était dispensé d’enseignement mais était payé comme ministre ou mis à disposition afin d’accomplir diverses fonctions officielles. En plus de sa paye de ministre, il continuait donc à percevoir ses rémunérations, environ 4500 euros mensuels, sans assurer le moindre enseignement. Cette situation taboue et largement méconnue du grand public mérite d’être mise en pleine lumière.
A ces 92 439 enseignants s’ajoutent 125 000 personnes qui ne sont plus en fonction dans le ministère, mais ils restent gérés par celui-ci, comme le détaille un tableau du rapport sur l’état de la fonction publique. Toujours selon la Fondation iFRAP ils travaillent dans un autre ministère ou une organisation syndicale, ou encore sont en congé (parental, fin d’activité). Ce problème de gestion des personnels se retrouve dans chaque ministère, mais dans l’enseignement, 217.500 personnes auraient ainsi été sous-employées en 2011.
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